2017
DOI: 10.1002/ajp.22680
|View full text |Cite
|
Sign up to set email alerts
|

The befuddling nature of mouse lemur hands and feet at Bezà Mahafaly, SW Madagascar

Abstract: The reddish-gray mouse lemur (Microcebus griseorufus) possesses striking phenotypic and behavioral variation. This project investigates differences in autopod proportions in neighboring populations of M. griseorufus from the Special Reserve at Bezà Mahafaly in southwest Madagascar. One population resides in an environment generally preferred by M. griseorufus-a spiny forest with large-trunked trees, vertically-oriented supports, and more open ground, while the other resides in a gallery forest with abundant sm… Show more

Help me understand this report

Search citation statements

Order By: Relevance

Paper Sections

Select...
3
2

Citation Types

0
1
0

Year Published

2023
2023
2024
2024

Publication Types

Select...
2

Relationship

1
1

Authors

Journals

citations
Cited by 2 publications
(5 citation statements)
references
References 95 publications
(128 reference statements)
0
1
0
Order By: Relevance
“…La variation structurale de la végétation et son lien avec les facteurs environnementaux semblent influencer la morphologie de primates. La structure forestière détermine supports utilisés par les primates pour se mouvoir en étant liée par le DHP des arbres, la densité des arbres et la densité de la végétation dans les diverses strates, et pourrait ainsi agir sur les comportements des primates (Dagosto et Yamashita 1998, Manduell et al 2012, Blanchard et al 2015 et affecter leurs caractères morphologiques comme les particularités des doigts et des orteils de Microcebus griseorufus (Agostini et al 2017). Cette étude converge dans ce sens en montrant que les caractéristiques des arbres ou des supports étaient des facteurs déterminant pour expliquer la variation de la longueur de l'oreille et du pied de primates.…”
Section: Capture Et Collecte Des Données Morphologiquesunclassified
See 3 more Smart Citations
“…La variation structurale de la végétation et son lien avec les facteurs environnementaux semblent influencer la morphologie de primates. La structure forestière détermine supports utilisés par les primates pour se mouvoir en étant liée par le DHP des arbres, la densité des arbres et la densité de la végétation dans les diverses strates, et pourrait ainsi agir sur les comportements des primates (Dagosto et Yamashita 1998, Manduell et al 2012, Blanchard et al 2015 et affecter leurs caractères morphologiques comme les particularités des doigts et des orteils de Microcebus griseorufus (Agostini et al 2017). Cette étude converge dans ce sens en montrant que les caractéristiques des arbres ou des supports étaient des facteurs déterminant pour expliquer la variation de la longueur de l'oreille et du pied de primates.…”
Section: Capture Et Collecte Des Données Morphologiquesunclassified
“…Les limites de ce travail sont dans les études génétiques et comportementales des populations de lémuriens nocturnes qui auraient pu renseigner les variations morphologiques observées par rapport aux variations génétiques (Kappeler et al 2005) ou simplement une morphologique normale par rapport à des facteurs externes comme l'humidité et la disponibilité de nourriture (Zvaríková et al 2016) ou les caractéristiques des supports (Agostini et al 2017), autrement dit sans modification génétique (Ah-King et Nylin 2010). Les variations des caractères morphologiques observées chez les lémuriens nocturnes de Menabe Sud témoignent de l'existence de réactions adaptatives normales face aux variations des facteurs écologiques et environnementaux comme la température et la disponibilité de ressources.…”
Section: Capture Et Collecte Des Données Morphologiquesunclassified
See 2 more Smart Citations
“…Variation itself can then be attributed to a variety of potentially interacting factors (Hallgrímsson & Hall, 2005). These factors could be phylogenetic signals with relevance to species delimitation studies (e.g., Cadena et al, 2018; Chornelia et al, 2022; Schüßler et al, 2020), large‐scale ecological adaptation to different environments or niche differentiation (e.g., Agostini et al, 2017; Meachen et al, 2015; Santini et al, 2019). Variation can further be attributed to mechanisms of sexual selection acting differently on males and females (e.g., Jennions et al, 2001) or natural selection for sex‐dependent environmental niches (Kamilar & Pokempner, 2008; Williamson et al, 2021).…”
Section: Introductionmentioning
confidence: 99%