“…Ses opinions personnelles le portaient sans doute plus à droite encore : ses deux fils avaient marché dans les rangs de la "Brigade Ehrhardt", appuyant le putsch du Generalland-schaftsdirektor Kapp en mars 1920(Schmidt-Ott, 1952. Troeltsch, 1924et Radbruch et Meinecke, 1926 sont essentiels ; voir aussi les études récentes suivantes : Mommsen, 1959 ;Bleuel, 1968 ;Töpner, 1970 ;Forman, 1971 ;Schroeder-Gudehus, 1972. de l'Association (Rothbarth, 1931, 7 ;Meister, 1947, 155, 179 de l'avenir de ce comité, l'intérêt du négociateur allemand, Fritz Haber, ne portait pas en premier lieu sur la substance de l'engagement, à savoir le montant des subventions ou les programmes de recherche à financer, mais sur le maintien des structures, le maintien de l'entente internationale formelle en tant que telle, "pour consolider entre les deux pays les liens que l'aide américaine avait crées" (cité d'après Forman, 1973, 175").…”