Suicidal ideation in prisoners: risk factors and relevance to suicidal behaviour. A prospective case–control study

Abstract

A family history of suicidal behaviour, history of psychiatric hospitalisation and symptoms of anxiety or depression were independent risk factors for SI in prisoners. Inmates with SI had a higher risk for self-destructive acts at follow-up. Inmates with SI are a high-risk group for future self-destructive acts, so special precautions designed to reduce this risk are warranted.

Personality Factors Associated With Psychological Distress in Testicular Cancer Survivors

“…The MADRS is increasingly employed in clinical research because studies have shown that the scale may be superior to other scales with respect to sensitivity to change (Montgomery &´ Asberg, 1979) and other psychometric properties, especially regarding populations with physical disease (Kearns et al, 1982), as it includes fewer somatic items. MADRS has been translated into Greek and has been used with Greek psychiatric patients as well as for specific populations (Lekka, Argyriou, & Beratis, 2006). The internal consistency coefficients (Cronbach's alphas) for MADRS obtained from our sample were .86 for the patients and .62 for the controls, which reflects the fact that the scale variance was higher for the patients, thereby increasing the magnitude of the correlations.…”

Les idéations suicidaires chez les nouveaux arrivants en maison d’arrêt

“…La moyenne du score de dépression à la BDI est de Les idées suicidaires sont liées avec l'histoire des hospitalisations psychiatriques [18,12] ou troubles psychiatriques actuels, notamment les hallucinations [14,20,29], aux troubles addictifs [20,29] et à un fort taux d'anxiété [18]. Cela est plus significatif pour les hallucinations que pour la paranoïa : en effet, il ressort qu'un certain nombre de détenus répondent positivement aux signes cliniques de la paranoïa (facteur « paranoïa ») alors qu'il s'agit de méfiance envers la surveillance policière.…”

“…Cela est plus significatif pour les hallucinations que pour la paranoïa : en effet, il ressort qu'un certain nombre de détenus répondent positivement aux signes cliniques de la paranoïa (facteur « paranoïa ») alors qu'il s'agit de méfiance envers la surveillance policière. En outre, les idées suicidaires sont liées au manque de support de l'entourage [31,14] et à l'histoire de tentative(s) de suicide personnelle [18,12]. En revanche, le lien entre les idées suicidaires et un deuil récent ou la ou les tentative(s) de suicide dans la famille n'est pas significatif.…”

“…En revanche, le lien entre les idées suicidaires et un deuil récent ou la ou les tentative(s) de suicide dans la famille n'est pas significatif. Ces résultats contredisent certaines données de la littérature, à savoir que les tentatives de suicide dans la famille seraient un facteur de risque du suicide [18,12] et qu'un deuil récent serait un facteur précipitant du suicide [12]. L'exploration lors de l'entretien de recherche n'a peut-être pas été suffisant pour le repérage de cette donnée ou bien la taille du groupe de sujets ayant des idées suicidaires était trop réduite.…”

“…Dans les prisons de GrandeBretagne, sur 172 détenus arrivés en prison depuis peu, « 25 détenus présentaient des idées suicidaires » [29]. Des auteurs notent que les détenus ayant des idées suicidaires réalisent beaucoup plus de tentatives de suicide ou de conduites d'auto-mutilations que ceux sans idées suicidaires [18]. Les idées suicidaires donnent lieu « à un plan pour la réalisation d'une tentative chez environ un tiers des sujets et, parmi ceux-ci, 70 % feront un passage à l'acte » [12].…”