“…Cette méthode permet en outre l'observation non destructive de la graine à l'intérieur de l'akène dans le cas du rosier. La difficulté d'imbibition de l'akène de rosier et l'influence de son péricarpe sur cette imbibition n'ayant été démon-trées que récemment (Gudin et al, 1990(Gudin et al, , 1991 (fig 2), alors qu'elles n'ont pu être repérées que sur 1/10 des akènes de densité supérieure à 1.…”