Structural Characterization ofProsopis africanaPopulations (Guill., Perrott., and Rich.) Taub in Benin

Abstract

The structural characterization of Prosopis africana of Benin was studied on the basis of forest inventory conducted in three different vegetation types (savannah, fallow, and field) and three climate zones. The data collected in 139 plots of 1000 m 2 each related to the diameter at breast (1.3 m above ground), total height, identification, and measurement of DBH related P. africana species height. Tree-ring parameters such as Blackman and Green indices, basal area, average diameter, height of Lorey, and density were calculated and interpreted. Dendrometric settings of vegetation type and climate zone (Guinea, Sudan-Guinea, and Sudan) were compared through analysis of variance (ANOVA). There is a significant difference in dendrometric settings according to the type of vegetation and climate zone. Basal area, density, and average diameter are, respectively, 4.47 m 2 /ha, 34.95 stems/ha, and 37.02 cm in the fields; 3.01 m 2 /ha, 34.74 stems/ha, and 33.66 cm in fallows; 3.31 m 2 /ha, 52.39 stems/ha, and 29.61 cm in the savannahs. The diameter distribution and height observed at the theoretical Weibull distribution show that the diameter and height of the populations of the species are present in all positively skewed distributions or asymmetric left, a characteristic of single-species stands with predominance of young individuals or small diameters or heights.

Connaissances et usages de Cola millenii K. Schum. (Malvaceae) en zones guinéenne et soudano-guinéenne au Bénin

“…Les noms varient d'un groupe socioculturel à l'autre, parfois d'un village à l'autre pour un même groupe socioculturel. L'attribution du nom à la plante repose non seulement sur ses traits morphologiques mais aussi sur un événement historique (Achigan-Dako et al, 2010 ;Houètchégnon et al, 2015 ;Assogba et al, 2017). Cette connaissance suppose l'existence d'une longue histoire de l'utilisation de l'espèce par les communautés concernées (Houètchégnon et al, 2015 ;Assogba et al, 2017).…”

“…L'attribution du nom à la plante repose non seulement sur ses traits morphologiques mais aussi sur un événement historique (Achigan-Dako et al, 2010 ;Houètchégnon et al, 2015 ;Assogba et al, 2017). Cette connaissance suppose l'existence d'une longue histoire de l'utilisation de l'espèce par les communautés concernées (Houètchégnon et al, 2015 ;Assogba et al, 2017). Le nom vernaculaire aurait également un lien avec l'usage préférentiel de l'espèce pour chaque groupe socioculturel conformément aux travaux de Assogba et al (2017).…”

“…La diversité des utilisations peut être expliquée par les conditions environnementales locales qui gouvernent la distribution et la disponibilité de l'espèce (Sop et al, 2012). Elle peut être également due aux besoins des populations locales (Houètchégnon et al, 2015 ;Assogba et al, 2017).…”

“…Les connaissances de l'utilisation des parties de C. millenii varient selon les groupes socioculturels comme l'ont par exemple rapporté les études de Wédjangnon et al (2016) sur Mansonia altissima, de Assogba et al (2017) sur Bombax costatum au Bénin, de Case et al (2005) sur la flore locale en Papouasie-Nouvelle-Guinée, et de Franco et al (2014) sur Koompassia excelsa en Malaisie. La variation des utilisations peut être expliquée non seulement par les différences culturelles mais aussi par la disponibilité locale d'autres espèces remplissant les mêmes fonctions (Houètchégnon et al, 2015).…”

Assessing Morphological Traits Variation and Fruit Production of <i>Lophira lanceolata</i> (Ochnaceae) in Benin

“…The drastic decline in crop production and the loss of genetic diversity are the real risks to be observed in the long term [7]. To mitigate these risks, it is necessary to define policies to protect, domesticate, extend and enhance the potential of species for the benefit of local populations [8]. The domestication process is still based on the selection of desirable genes [9], given indigenous knowledge of target species [10].…”