Strategic Development Challenges in Marine Tourism in Nunavut

Abstract

Marine tourism in Arctic Canada has grown substantially since 2005. Though there are social, economic and cultural opportunities associated with industry growth, climate change and a range of environmental risks and other problems present significant management challenges. This paper describes the growth in cruise tourism and pleasure craft travel in Canada's Nunavut Territory and then outlines issues and concerns related to existing management of both cruise and pleasure craft tourism. Strengths and areas for improvement are identified and recommendations for enhancing the cruise and pleasure craft governance regimes through strategic management are provided. Key strategic approaches discussed are: (1) streamlining the regulatory framework; (2) improving marine tourism data collection and analysis for decision-making; and (3) developing site guidelines and behaviour guidelines.

Les corridors maritimes stratégiques dans l'Arctique canadien : un programme adapté au tourisme marin ?

“…Sous les auspices de la Loi sur la marine marchande du Canada/Shipping Act (Ministère de la Justice ), tous les navires de plus de 300 tonnes qui opèrent dans les eaux arctiques canadiennes, au‐delà du 60e parallèle, doivent communiquer leur plan de navigation à la GCC (Johnston et al ). Outre cette règle, la législation oblige également les navires transportant plus de 453 mètres cubes de mazout à informer TC de leur présence.…”

“…En 2012, le Caledonian Sky , qui ne transportait que 230 mètres cubes de mazout, n'était pas assujetti à la LPPEA, mais il s'est tout de même inscrit auprès de NORDREG, car il dépassait les 300 tonnes de jauge brute. Par ailleurs, les embarcations de plaisance ne sont pas assujetties à cette obligation d'enregistrement, mais la grande majorité s'y soumet, ce qui leur donne accès à de l'information utile à la navigation, et ce, en temps réel (Johnston et al ). Selon TC, une embarcation de plaisance correspond à « un bâtiment qui est utilisé pour le plaisir, à des fins récréatives ou dans le cadre d'une activité quotidienne » (Orams ; Ministère de la Justice ).…”

“…La réduction de la couverture moyenne de la banquise dans l'archipel Arctique canadien depuis maintenant plus de trente ans a favorisé l'accessibilité de la région, développant ainsi les opportunités en matière de transport maritime (Lasserre et Pelletier ; Farré et al ; Pizzolato et al ). Ce développement ne se traduit pas de la même façon dans tous les secteurs maritimes et c'est dans les domaines de la pêche, et de la navigation touristique (croisière, aventurier et plaisance) que la croissance est la plus prononcée (Johnston et al ), comme le suggère la figure . Il convient cependant de noter que les conditions environnementales sont extrêmement variables et les tendances générales quant au niveau de glace dans l'Arctique ne sont ni cohérentes ni toujours avérées.…”

“…Il existe un certain corpus de littérature permettant d'apprécier la répartition spatiale de la navigation touristique dans les eaux arctiques canadiennes (Lasserre et Têtu ; Pizzolato et al ; Dawson et al ), mais on ne peut en dire autant pour la navigation de plaisance (Johnston et al ). C'est dans cette perspective que s'inscrit ce travail, dont l'objectif vise à déterminer les grandes caractéristiques d'organisation spatiale et temporelle des navires de croisière et des embarcations de plaisance dans les eaux arctiques canadiennes entre 1990 et 2015.…”

Cruising the marginal ice zone: climate change and Arctic tourism

“…In recent decades tourism has become a major human presence in the Arctic (Larsen & Fondahl, 2015), with seaborne tourism regarded as the fastest-growing segment of polar tourism (Bystrowska & Dawson, 2017;Dawson, Pizzolato, Howell, Copland, & Johnston, 2018;Johnston, Dawson, & Maher, 2017;Steinicke & Albrecht, 2012;Stonehouse & Snyder, 2010). Reduced sea ice cover results in extended sailing seasons, as well as improved accessibility to destinations that were once cut off, such as the Canadian Arctic (Stewart & Draper, 2008).…”