“…Le coeur, localisé en position dorsale juste sous la cuticule abdominale de l'adulte, est maintenu par les muscles alaires qui le connectent à l'épiderme. le filament épais de myosine, les composants du filament fin (actine, tropomyosine, troponines) mais également le récepteur à la ryanodine (RyR), la pompe calcique dépendante de l'ATP du réticulum sarcoplasmique (SERCA), les canaux ioniques possiblement impliqués dans l'activité pacemaker comme Ih/HCN (hyperpolarization-activated cyclic nucleotide modulated cation non-selective channel) [5], sont tous exprimés par les cardiomyocytes. Au niveau cellulaire, les cardiomyocytes de la mouche, comme ceux des mammifères, présentent des invaginations de la membrane plasmique formant des tubules T [9].…”