Extreme climate events are frequently important factors associated with episodes of forest decline. A recent oak decline event and concurrent outbreak of a native wood-boring beetle, the red oak borer (Enaphalodes rufulus (Haldeman)), occurred throughout Arkansas Ozark and Ouachita Mountains. To investigate the role of drought and stand maturity on northern red oak (Quercus rubra L.) decline, we analyzed tree-ring growth patterns and their relationships to climate from 815 live and 161 recently dead Q. rubra. While younger Q. rubra exhibited faster growth rates and stronger climate relationships than older Q. rubra, some individuals within all stands that originated >60 years ago were susceptible to growth decline or mortality. A significant growth interaction occurred among the three age classes identified where currently healthy Q. rubra were initially growing at slower decadal rates than currently declining or recently dead Q. rubra and later transitioned to higher growth rates than the others. These differences appear to be related to carbon allocation patterns towards rapid aboveground and (or) belowground growth early in development that led to later decline and (or) mortality. Decline in growth and weakening tree growth -climate relationships appeared to be initiated by an unusually severe and sustained drought in the early 1950s.Résumé : Les conditions climatiques extrêmes se retrouvent souvent parmi les principaux facteurs associés aux épisodes de dépérissement des forêts. Un épisode récent de dépérissement du chêne et une épidémie simultanée du grand longicorne du chêne rouge (Enaphalodes rufulus (Haldeman), un cérambycidé indigène, sont survenus dans les monts Ozark et Ouachita en Arkansas. Pour étudier le rôle de la sécheresse et de la maturité des peuplements sur le dépérissement du chêne rouge (Quercus rubra L.), nous avons analysé les patrons de croissance des cernes annuels et leurs relations avec le climat chez 815 tiges vivantes et 161 tiges mortes récemment de Q. rubra. Alors que la croissance des jeunes Q. rubra était plus rapide et plus étroitement reliée au climat que celle des plus vieux Q. rubra, certains individus dans tous les peuplements qui avaient plus de 60 ans étaient sujets à une diminution de croissance ou à la mort. Parmi les trois classes d'âge identifiées, il y avait une interaction significative dans le cas de la croissance : les Q. rubra présentement en santé ont initialement eu un taux de croissance décennal plus faible que les Q. rubra actuellement dépérissants ou morts récemment et ont par la suite connu un taux de croissance plus élevé que les autres. Ces différences semblent être reliées aux patrons d'allocation du carbone vers les zones aériennes ou souterraines de croissance rapide tôt dans le développement, ce qui a plus tard entraîné le dépérissement ou à la mort. Le déclin de la croissance et l'affaiblissement des relations entre le climat et la croissance des arbres ont semblé être initiés par une sécheresse exceptionnellement sévère et prolongée au début des année...