Solar-system abundances of the elements

Anders, Edward; Ebihara, Mitsuru

doi:10.1016/0016-7037(82)90208-3

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“…C3A may be stable in a gas which is Al-poor, Ca-rich relative to a gas of solar composition but condensates from such a gas would have higher than solar CaO/AI203 ratios. Bulk compositions of type C inclusions have CaO/A1203 ratios (0.7 _ 0.2) consistent with that of a solar gas (0.77; [31]). …”

Section: Determination Of Original Condensate Mineralogymentioning

confidence: 54%

The origin of type C inclusions from carbonaceous chondrites

Beckett

Grossman

1988

Earth and Planetary Science Letters

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Type C inclusions are plagioclase-rich, Ca-, Al-rich inclusions found in carbonaceous chondrites. They formed as solid condensates which were later melted in an event that destroyed the original condensate grains. Neither the melting event nor secondary alteration had a significant effect on bulk composition. Two stages in the condensation history can be discerned on the basis of major element bulk compositions. As in type A inclusions, the condensate phase assemblage originally consisted of melilite + spinel + perovskite + hibonite. Type C's were, however, significantly enriched in spinel relative to unaltered portions of most type A's. In contrast to type A's, condensate grains of spinel and melilite in type C's reacted partially with a coexisting gas to produce anorthite + diopside. One-half to two-thirds of the silica now in type C inclusions was introduced by this process. The reactions involving melilite and spinel that are predicted by equilibrium condensation calculations for a cooling gas of solar composition did not occur, probably due to kinetic constraints. Type C's may be related to Al-rich chondrules in ordinary chondrites by the addition of olivine and albite. Bulk compositions of Al-rich chondrules in enstatite chondrites are consistent with the addition of orthopyroxene and albite to type C inclusions. Thus, types A and C inclusions and Al-rich chondrules could represent sequences of condensates removed from interaction with the primitive solar nebula at progressively lower temperatures. If Al-rich chondrules represent the high-temperature component in chondritic material, then type C inclusions rather than the more common subgroups of CAIs could be the true parents of chondrites.

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Section: Determination Of Original Condensate Mineralogymentioning

confidence: 54%

The origin of type C inclusions from carbonaceous chondrites

Beckett

Grossman

1988

Earth and Planetary Science Letters

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“…The fluorescent yield of a species gives the probability that the excited ion will de-excite via fluorescence rather than autoionization. Figure 7 shows the results of a Monte-Carlo simulation modeling these processes when a power-law X-ray continuum with photon index Γ = 2 is incident on a gaseous slab [24,178], assuming the slab has cosmic abundances [179]. At soft X-ray energies, the albedo of the slab is very small due to the photoabsorption by the metals in the slab.…”

Section: Simple X-ray Reflection Modelsmentioning

confidence: 99%

Fluorescent iron lines as a probe of astrophysical black hole systems

2003

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“…Ainsi, la vie terrestre est essentiellement composée de carbone, d'hydrogène, d'oxygène et d'azote (avec une pincée de phosphore et de soufre) qui sont aussi quatre éléments chimiques très abondants dans l'univers [8]. Il est donc raisonnable de penser qu'une vie extraterrestre sera aussi basée sur ces éléments, même si une équipe américaine prétend avoir découvert une bactérie utilisant l'arsenic à la place du phosphore [9].…”

Section: Vies Terrestre Et Extraterrestre : Traits Communs Ou Diversiunclassified

De quoi l’extraterrestre est-il le nom ?

Lehoucq

2011

Med Sci (Paris)

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La toute première représentation d'un être extraterrestre semble remonter aux années 1835-1836 [1]. Il s'agit d'hommes chauve-souris habitant la Lune (Figure 1), observés au moyen d'un supertélescope imaginaire. Mis en scène, ces sélénites ridiculisaient certains savants de l'époque qui pensaient avoir observé des constructions artificielles sur la Lune. Ce récit inspira une série d'articles considérés comme des canulars alors que son auteur pensait produire une satire. Mais l'extraterrestre le plus souvent représenté est bien sûr le Martien (Figure 2), créature imaginaire originaire de la planète Mars. Les Martiens sont souvent représentés comme des êtres à l'apparence vaguement humanoïde et repoussante, minces, avec une grosse tête et des yeux globuleux, généralement animés de mauvaises intentions envers l'espèce humaine. Ils sont aussi souvent de couleur verte, ce qui leur vaut d'être surnommés « petits hommes verts ». Cette couleur pourrait avoir son origine dans un roman d'Edgar Rice Burroughs, le père de Tarzan, intitulé A princess of Mars (1912). L'auteur y décrit les différentes espèces de Martiens, dont l'une a une peau verte, très exotique. Cette couleur sera reprise par plusieurs autres auteurs et fera parfois le titre de leur ouvrage, comme Harold Sherman dans The green man (1946) ou encore Damon Knight dans The third little green man (1947). Dans la tradition des contes, la couleur verte est omniprésente pour évoquer certaines créatures féeriques ou fantomatiques. Avec leur apparition au cinéma, l'aspect des extraterrestres s'est considérablement diversifié. Face à cette profusion d'espèces, le cinéaste Denis Van Waerebeke a réalisé un court métrage humoristique intitulé Classification systématique du vivant extraterrestre, dans lequel il applique aux extraterrestres rencontrés dans les oeuvres de fiction les règles de classification des êtres vivants terrestres 1 . Il en ressort notamment qu'au cinéma la forme humanoïde domine largement. C'est assez logique si l'on considère que l'acteur qui joue le rôle de la créature doit pouvoir enfiler son costume sans que ses mouvements soient trop limités. Cette contrainte aurait dû tendre à disparaître avec l'utilisation des effets spéciaux ou des acteurs virtuels. Mais les réalisateurs ne s'inspirent guère de la biodiversité terrestre qui réserve pourtant des surprises bien audelà d'une étrangeté formatée. Malheureusement, nous ne nous intéressons pas aux êtres vivants chez lesquels une symétrie bilatérale, une tête ou des yeux ne nous apparaissent pas spontanément. Sauf si, comme la salade, nous les mangeons. C'est donc la quasi totalité du vivant terrestre qui est purement et simplement ignorée quand il s'agit d'imaginer des extraterrestres vraiment originaux [2]. C'est ainsi que, dans son film Avatar, James Cameron nous montre la planète Pandora pourvue d'un écosystème très semblable au nôtre : on y voit des vertébrés, des carnivores, des herbivores,

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Solar-system abundances of the elements

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The origin of type C inclusions from carbonaceous chondrites

The origin of type C inclusions from carbonaceous chondrites

Fluorescent iron lines as a probe of astrophysical black hole systems

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