Social status modulates prosocial behavior and egalitarianism in preschool children and adults

Guinote, Ana; Cotzia, Ioanna; Sandhu, Sanpreet; Siwa, Pramila

doi:10.1073/pnas.1414550112

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“…These individuals frequently focus on increasing their payouts while neglecting others' payouts. These tendencies can be observed early in ontogeny: Compared to their low-rank counterparts, five-year-old children who were in a high-rank position gave fewer stickers to a child in need (Guinote et al 2015). This was true regardless of whether rank was determined by dominance or was experimentally induced.…”

Section: Does Power Corrupt?mentioning

confidence: 96%

“…Furthermore, with enhanced perceived control, powerful people perceive the self as an independent, self-sufficient entity (independent self-construal). In contrast, powerless people resort to relationships as a means to enhance control, are more communal, and have an interdependent self-construal (see Fiske & Dépret 1996, Guinote et al 2015, Guinote & Chen 2016.…”

Section: Power and Cognitionmentioning

confidence: 99%

“…The assertiveness of dominant people creates the impression of competence, even when they are not necessarily more competent than others. This, in turn, affords power to the dominant person (see Anderson & Kilduff 2009, Guinote et al 2015.…”

mentioning

confidence: 99%

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How Power Affects People: Activating, Wanting, and Goal Seeking

Guinote

2017

Annu. Rev. Psychol.

Self Cite

265

252

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Sociocognitive research has demonstrated that power affects how people feel, think, and act. In this article, I review literature from social psychology, neuroscience, management, and animal research and propose an integrated framework of power as an intensifier of goal-related approach motivation. A growing literature shows that power energizes thought, speech, and action and orients individuals toward salient goals linked to power roles, predispositions, tasks, and opportunities. Power magnifies self-expression linked to active parts of the self (the active self ), enhancing confidence, self-regulation, and prioritization of efforts toward advancing focal goals. The effects of power on cognitive processes, goal preferences, performance, and corruption are discussed, and its potentially detrimental effects on social attention, perspective taking, and objectification of subordinates are examined. Several inconsistencies in the literature are explained by viewing power holders as more flexible and dynamic than is usually assumed.

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Section: Does Power Corrupt?mentioning

confidence: 96%

Section: Power and Cognitionmentioning

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How Power Affects People: Activating, Wanting, and Goal Seeking

Guinote

2017

Annu. Rev. Psychol.

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265

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“…One of these themes is certainly the effect of social class on prosociality. Recent social psychological research has presented evidence of a negative effect of social class on several prosocial behaviors [1][2][3]. In these studies, higher class individuals were found to be less charitable, less trusting, less generous, and less helpful than lower social class individuals.…”

Section: Introductionmentioning

confidence: 99%

A Large Scale Test of the Effect of Social Class on Prosocial Behavior

Korndörfer

Egloff²,

Schmukle

2015

SSRN Journal

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Does being from a higher social class lead a person to engage in more or less prosocial behavior? Psychological research has recently provided support for a negative effect of social class on prosocial behavior. However, research outside the field of psychology has mainly found evidence for positive or u-shaped relations. In the present research, we therefore thoroughly examined the effect of social class on prosocial behavior. Moreover, we analyzed whether this effect was moderated by the kind of observed prosocial behavior, the observed country, and the measure of social class. Across eight studies with large and representative international samples, we predominantly found positive effects of social class on prosociality: Higher class individuals were more likely to make a charitable donation and contribute a higher percentage of their family income to charity (32,090 ! N ! 3,957; Studies 1-3), were more likely to volunteer (37,136 !N ! 3,964; Studies 4-6), were more helpful (N = 3,902; Study 7), and were more trusting and trustworthy in an economic game when interacting with a stranger (N = 1,421; Study 8) than lower social class individuals. Although the effects of social class varied somewhat across the kinds of prosocial behavior, countries, and measures of social class, under no condition did we find the negative effect that would have been expected on the basis of previous results reported in the psychological literature. Possible explanations for this divergence and implications are discussed.

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“…Des enfants issus de cultures ou de familles dont la structure est verticale, ou des enfants qui occupent un rang hiérarchique plus élevé dans leur classe pourraient être plus enclins à renforcer l'asymétrie qui se présente à eux, en accordant plus de ressources au dominant. À cet égard, une étude a récemment montré qu'une modification ponctuelle du statut social de l'enfant influençait sa volonté de partager des ressources [26] : les enfants ayant le statut le plus élevé (ils étaient parvenus à obtenir un jouet particulièrement attractif) étaient moins enclins à partager des autocollants que leur donnait l'expérimentateur que les enfants de plus bas statut (ils avaient dû se contenter du jouet le moins attractif). Les résultats exposés ici montrent qu'à un âge assez précoce, les enfants peuvent se représenter les désavantages associés à la subordination.…”

Section: Controverses Et Perspectivesunclassified

La politique de l’enfant et le dilemme de la hiérarchie

Henst

2017

Med Sci (Paris)

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médecine/sciencescueilleurs [1]. Elles apparaissent entre pairs dès les premiers temps de l'expérience collective comme à la crèche [2] et, chez les animaux sociaux, la hiérarchie structure de part en part l'organisation des groupes. La hiérarchie n'est pas sans conséquence pour les individus. Du rang qu'ils occupent, peuvent dépendre la quantité de ressources auxquelles ils ont accès, leurs chances de survie, ou encore leur succès reproductif [3]. Il est dès lors légitime de penser qu'un monde social hiérarchisé impose des contraintes sur le plan cognitif. Identifier qui domine dans une relation, anticiper quel sera le comportement du dominant, ou savoir qui aura le droit à quoi en fonction de son statut hiérarchique, sont des connaissances précieuses pour se mouvoir dans l'environnement social. À cet égard, de nombreux travaux issus des sciences cognitives révèlent que les animaux sont doués d'étonnantes capacités à extraire de l'information à partir des hiérarchies. Ces travaux montrent aussi que certaines de ces capacités émergent très tôt chez le bébé humain et ne cessent de se complexifier pendant l'enfance. Les poissons Burtoni 1 réalisent ainsi des inférences transitives sur la base des relations de dominance entre leurs congénères (Si un individu voit parmi un groupe Le dilemme de la hiérarchieJean-Luc et Benoît ont 3 ans. Ils sont dans la même école et aiment passer du temps ensemble à la récréa-tion. Mais quand il s'agit de décider à quoi ils vont bien pouvoir jouer, leurs divergences de vue sont patentes. Si l'un dit qu'il aimerait jouer à la balle, l'autre répon-dra qu'il préfèrerait faire une partie de billes. Si l'un propose de sauter dans la cour, l'autre voudra aller courir, etc. Ce n'est pas tant un esprit de contradiction qui les anime, que des préférences bien distinctes. Mais ils trouveront toujours une solution à leur conflit et finiront par jouer tous les deux au même jeu. Ce dénouement sera cependant invariablement univoque : Jean-Luc imposera ses choix et Benoît les acceptera. Dans la relation qui les unit, Jean-Luc occupe donc la position dominante et Benoît la position subordonnée. Jean-Luc jouit du pouvoir et prend les décisions alors que Benoît s'y soumet. Cette situation d'asymétrie relationnelle, où un individu a durablement l'avantage sur un autre, n'est, bien sûr, pas propre à la cour de récréation. Les relations hiérar-chiques constituent un trait récurrent de la vie sociale. On les observe dans toutes les sociétés humaines, même dans les groupes les plus égalitaires de chasseurs-> La hiérarchie est une caractéristique récur-rente de la vie sociale. Dès le plus jeune âge, les enfants sont confrontés à des relations de pouvoir où un individu dominant impose sa volonté à un individu subordonné. Les enfants montrent très tôt des capacités sophistiquées à comprendre ces relations. Mais peu d'études s'inté-ressent à l'attitude qu'ils adoptent vis-à-vis d'une inégalité de pouvoir. Estiment-ils que le dominant doit être favorisé pour renforcer le statu quo ? Ou considèrent-ils que le ...

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Social status modulates prosocial behavior and egalitarianism in preschool children and adults

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How Power Affects People: Activating, Wanting, and Goal Seeking

How Power Affects People: Activating, Wanting, and Goal Seeking

A Large Scale Test of the Effect of Social Class on Prosocial Behavior

La politique de l’enfant et le dilemme de la hiérarchie

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