Risk factors for IUD failure: results of a large multicentre case-control study

Abstract

This study is clearly reassuring, as we found that anti-inflammatory drugs and any other medicines taken by the woman were not implicated in IUD failure. Only a history of previous IUD expulsion was found to be a risk factor for failure, indicating that these women should have regular medical and echographical follow-up. Comparing the efficacy rate of various types of IUDs, we found a clear advantage for levonorgestrel-releasing devices.

Contraception for Adolescents

“…Nonetheless, current data suggest that IUDs are generally well tolerated in young women and that continuation and satisfaction rates are high. [71][72][73][74] Adolescent-specific data are limited on acceptability and use of IUDs for contraception; however, recent studies are promising, suggesting 1-year continuation rates of 75% or greater. [75][76][77][78] The data on levonorgestrel IUD use for medical indications in adolescents reveal improvement in dysmenorrhea and heavy menses.…”

Contraception for Adolescents

“…58 Another concern is that more than half of young nulliparous women report moderate to severe pain with insertion. 59,60 Nonetheless, studies demonstrate IUD continuation rates in adolescents that exceed those with other hormonal methods and effective use of the levonorgestrel IUD for menstrual suppression in adolescent patients with complex medical conditions. 61-67…”

Mise au point sur la contraception intra-utérine en 15 questions-réponses

“…De même, pour Thonneau et al, qui ont é tudié les facteurs de risque d'é chec de la contraception intra-uté rine dans une é tude cas-té moin multicentrique, il existerait une supé riorité , en termes d'efficacité , du SIUl par rapport aux DIUc [16]. Une des hypothè ses invoqué e pour expliquer cette diffé rence serait que le SIUl est efficace, même insé ré en position basse dans la cavité uté rine ; ce qui est moins é vident avec les DIUc.…”

“…Né anmoins, aucune é tude de niveau de preuve suffisant n'est venue renforcer cette hypothè se. Que ce soit dans l'é tude cas-té moin de Thonneau et al ou dans la mé ta-analyse de la Cochrane Database de 2006, il a clairement é té mis en é vidence que la prise d'anti-inflammatoires non sté roïdiens ne constitue pas un facteur de risque d'é chec de la contraception par DIUc [16,17]. Au contraire, ils pourront constituer une aide mé dicamenteuse inté ressante pour lutter contre les dysmé norrhé es et/ou les hypermé norrhé es classiquement induites par les DIUc [17].…”

“…Elles ré pondent assez bien aux antalgiques simples et surtout aux anti-inflammatoires non sté roïdiens. Ces derniers, utilisé s en prise ponctuelle de plusieurs jours à dose efficace, ne risquent en rien de diminuer l'efficacité de ces DIU, contrairement à ce qui a é té avancé pendant des anné es [16,17] et permettent de contribuer à la bonne tolé rance des DIUc. Si les dysmé norrhé es ou autres douleurs persistent, elles peuvent traduire une inadaptation du DIU à la cavité uté rine.…”