Review of MR elastography applications and recent developments

Glaser, Kevin J.; Manduca, Armando; Ehman, Richard L.

doi:10.1002/jmri.23597

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“…In contrast, simple steatosis does not result in any significant increase in stiffness [62] . The shear wave length in fibrotic liver is much longer than it is in healthy liver, and the elastograms show that fibrotic liver is much stiffer than healthy liver [63] . MRE can be performed before or after the intravenous gadolinium injections that are routinely used for liver studies.…”

Section: Magnetic Resonance-based Elastographymentioning

confidence: 95%

Noninvasive imaging assessment of non-alcoholic fatty liver disease: Focus on liver scintigraphy

Tovo

Mattos

Coral

et al. 2015

WJG

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Section: Magnetic Resonance-based Elastographymentioning

confidence: 95%

Noninvasive imaging assessment of non-alcoholic fatty liver disease: Focus on liver scintigraphy

Tovo

Mattos

Coral

et al. 2015

WJG

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“…MRE can be implemented on a conventional MR system, using modified GRE or SE sequences and adding hardware to generate the waves and software for acquisition and processing. Liver stiffness is directly related to the stage of fibrosis, increasing with the progression of the disease [53,54]. MRE has a high sensitivity and specificity in diagnosing and staging of liver fibrosis and it is now considered as the best non-invasive tool to assess liver fibrosis [53].…”

Section: Mr Quantification Of Hepatic Fibrosismentioning

confidence: 99%

Liver MRI: From basic protocol to advanced techniques

Donato

França

Candelária

et al. 2017

European Journal of Radiology

103

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A B S T R A C TLiver MR is a well-established modality with multiparametric capabilities. However, to take advantage of its full capacity, it is mandatory to master the technique and optimize imaging protocols, apply advanced imaging concepts and understand the use of different contrast media. Physiologic artefacts although inherent to upper abdominal studies can be minimized using triggering techniques and new strategies for motion control. For standardization, the liver MR protocol should include motion-resistant T2-w sequences, in-op phase GRE T1 and T2-w fast spin echo sequences with fat suppression. Diffusion-weighted imaging (DWI) is mandatory, especially for detection of sub-centimetre metastases. Contrast-enhanced MR is the cornerstone of liver MR, especially for lesion characterization. Although extracellular agents are the most extensively used contrast agents, hepatobiliary contrast media can provide an extra-layer of functional diagnostic information adding to the diagnostic value of liver MR. The use of high field strength (3T) increases SNR but is more challenging especially concerning artefact control. Quantitative MR belongs to the new and evolving field of radiomics where the use of emerging biomarkers such as perfusion or DWI can derive new information regarding disease detection, prognostication and evaluation of tumour response. This information can overcome some of the limitations of current tests, especially when using vascular disruptive agents for oncologic treatment assessment. MR is, today, a robust, mature, multiparametric imaging modality where clinical applications have greatly expanded from morphology to advanced imaging. This new concept should be acknowledged by all those involved in producing high quality, high-end liver MR studies.

show abstract

“…La vitesse de propagation des ondes de pression augmente avec la rigidité du milieu traversé. Ce marqueur peut donc être utilisé pour estimer les propriétés viscoélastiques d'un tissu (Glaser et al 2012). Ce phénomène est la base de l'élastographie par IRMN, qui est une méthode validée pour la quantification de la fibrose hépatique.…”

Section: Outils D'évaluation Par Imagerie Rmn Actuellement En Cours Dunclassified

Imagerie et spectroscopie par résonance magnétique nucléaire du muscle strié squelettique

et al. 2016

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Au cours des dernières années, les traitements de nombreuses maladies neuromusculaires, jusqu'ici incurables, ont bénéficié d'importants progrès. Ce bouleversement contextuel a eu pour conséquence de stimuler le développement de nouveaux outils d'évaluation atraumatiques. Ceux-ci peuvent être classés en trois grandes catégories : les explorations fonctionnelles musculaires, les marqueurs des fluides biologiques et l'imagerie musculaire. Au sein de cette dernière, l'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRMN) offre un très large éventail de possibilités pour caractériser la composition, la fonction et le métabolisme du muscle strié squelettique. Aujourd'hui, trois indicateurs RMN sont couramment intégrés dans les protocoles de recherche clinique : 1) le volume musculaire ou l'aire d'une section musculaire transversale ciblée, 2) le pourcentage de graisse intramusculaire et 3) le T2 de l'eau musculaire. Ils permettent de quantifier respectivement la trophicité du muscle, les dégénérescences graisseuses chroniques et l'oedème tissulaire (ou plus généralement « l'activité de la maladie »). Un quatrième indicateur, le volume de tissu contractile est facilement dérivable des deux premiers. Les cartographies de fraction graisseuse, souvent issues de séquences Dixon, ont fait la preuve de leur utilité pour détecter de subtils changements de composition musculaire et se sont, à plusieurs reprises, révélées plus sensibles que les évaluations fonctionnelles standards. Cet indicateur sera probablement le premier parmi ceux proposés à être validé comme paramètre principal par les organismes de régulation. La diversité des contrastes obtenus par RMN permet d'explorer de nombreuses autres pistes de caractérisation du muscle squelettique et de nouveaux biomarqueurs RMN sont à attendre dans un avenir plus ou moins proche. Des séquences à TE ultra-courts (UTE), le rehaussement tardif post-injection de gadolinium et l'élastographie par RMN sont en cours d'étude pour l'évaluation de la fibrose interstitielle du muscle squelettique. De nombreuses options existent pour mesurer la perfusion et l'oxygénation du muscle par RMN. La RMN de diffusion ainsi que l'utilisation d'algorithmes d'analyse de texture pourraient apporter des informations supplémentaires sur l'organisation musculaire aux échelles respectivement microscopiques et mésoscopiques. La spectroscopie RMN du phosphore 31 P est la technique de référence pour l'évaluation atraumatique de l'énergétique musculaire pendant et après exercice. Le spectre 31 P du muscle dystrophique au repos est notablement altéré, et plusieurs de ses résonances informent sur l'intégrité de la membrane cellulaire. D'importants efforts sont consacrés à l'accélération de l'acquisition des images au travers plusieurs approches, allant de l'extraction du contenu en graisse et des cartographies T2 au départ d'une unique séquence, jusqu'à l'utilisation de scénarios d'acquisition partielle des matrices. Dans un avenir proche, une diminution spectaculaire du temps d'acquisition est attendue. Cela ren...

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Review of MR elastography applications and recent developments

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Noninvasive imaging assessment of non-alcoholic fatty liver disease: Focus on liver scintigraphy

Noninvasive imaging assessment of non-alcoholic fatty liver disease: Focus on liver scintigraphy

Liver MRI: From basic protocol to advanced techniques

Imagerie et spectroscopie par résonance magnétique nucléaire du muscle strié squelettique

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