“…Mais un tel corrélat neuronal des couleurs synesthésiques pourrait être distribué dans le cortex visuel et être variable entre les individus. Il serait alors difficilement identifiable par les analyses classiques en IRMf (contraste de la réponse hémodynamique, le signal BOLD, entre deux conditions, activité moyennée par voxel entre les sujets [28]) qui révèlent uniquement les activités suffisamment localisées dans le cerveau. Ceci expliquerait le manque de reproductibilité des résultats obtenus à ce jour.…”