Rethinking poverty

Abstract

For the past hundred years thinking about poverty has been stuck within an empiricist framework that has concentrated on the measurement of poverty to the neglect of theory and explanation. This has had very limiting effects on the way that both poverty and the poor have been understood. It is time to re-think how poverty is looked at and analysed in order to locate it within its proper political perspective, not only to arrive at more meaningful measurement but also to help develop a strategy to overcome it.

Irresponsible citizens? New Labour, citizenship and the case of non-payment of local taxation

“…More than this, Novak (1995) argues that when poverty is expressed as insecurity, questions are raised about the core economic and social relationships of capitalist society so this also leads to a fundamental question about New Labour's conception of citizenship in relation to the free market. Marshall's (1963) account of citizenship pointed to a conflict between citizenship and the market but this is not the case with New Labour.…”

Face cachée de la pauvreté au Nouveau-Brunswick : donner voix aux femmes pour comprendre la souffrance

“…Pour bien saisir l'ancrage de cet article, il importe de présenter avant tout le sens que nous choisissons de donner à la pauvreté. Nous rejoignons les perspectives proposées par Jo (2012), Novak (1995) et Scheff (2011 quant à la pauvreté. Pour sa part, Jo (2012) reconnaît qu'au-delà du désavantage matériel et économique que la pauvreté produit, elle s'accompagne de la honte qui se manifeste à la fois « par le manque de voix des personnes qui y sont aux prises, et aussi par le manque de respect, par l'humiliation et par l'atteinte à la dignité dont elles font l'objet » (p. 516, [notre traduction]).…”

“…Pour sa part, Jo (2012) reconnaît qu'au-delà du désavantage matériel et économique que la pauvreté produit, elle s'accompagne de la honte qui se manifeste à la fois « par le manque de voix des personnes qui y sont aux prises, et aussi par le manque de respect, par l'humiliation et par l'atteinte à la dignité dont elles font l'objet » (p. 516, [notre traduction]). Par ailleurs, Novak (1995) propose d'appréhender la dimension subjective de la pauvreté en référant à l'insécurité et au manque de pouvoir qu'elle génère. Cette insécurité et ce manque de pouvoir se manifestent « par une préoccupation quotidienne à savoir comment survivre à sa semaine, par le fait d'avoir peu de contrôle quant à son devenir, peu de choix, aucune occasion de planifier, pas d'espoir devant l'interminable combat pour sa survie » (Novak, 1995, p. 62, [notre traduction]).…”

A New Scale of Poverty: How the Officially Recorded Poor People in Turkey Perceive Themselves

“…Alston and Dean (), Nilson (), Hochschild (), Kluegel and Smith (, ) also find that poverty is mainly perceived in relation to different geographies, cultures, education and income levels. Moreover, other studies (Carr & Maclachlan, ; Carr, ; Harper, Wagstaff, Newton, & Harrison, ; Harper, , , ; O'Connor, ; Mehryar, ; Furnham, ; Williamson, ; Novak, ; Hunt, ) argue that poverty is related to psychological factors. Shek () emphasizes that poverty is perceived as a personal problem, explained by the Chinese parents and adolescents in his study as being due to exploitation, lack of opportunity, and fate.…”

“… However, some groups of studies (Carr & Maclachlan, ; Carr, ; Harper et al., ; İnsel, ; O'Connor, ; Mehryar, ; Kluegel & Smith, , ; Furnham, ; Williamson, ; Novak, ; Hunt, ) find that the causes of poverty originate from psychological factors. Besides, İnsel () and O'Connor () state that the studies of perception of poverty show contradicting results according to the countries’ level of development. …”