Rasmussen's encephalitis: From immune pathogenesis towards targeted-therapy

Abstract

Rasmussen encephalitis (RE) is a unilateral hemispheric encephalitis whose main clinical features include refractory focal epilepsy or epilepsia partialis continua, hemiparesis, and progressive cognitive decline. Despite the autoimmune pathogenesis of RE, the only definitive therapeutic option is currently represented by surgery.We review the clinical features, the immune pathogenesis, and the available therapeutic options for RE, with special focus on immunosuppressive agents. The research includes systematic reviews, meta-analyses, observational studies, clinical trials, cases series and reports, until 2020.The use of immunosuppressive agents in RE is supported by the evidence of an autoimmune involvement of the central nervous system in this condition. Although often insufficient to modify the disease course and to achieve symptomatic control, immune therapy can be effective in patients with slow disease progression or in patients in which surgery is not applicable. Moreover, the documentation of T-cell involvement in the pathogenesis of RE, with a specific cytokine pattern, opens a window of opportunity for the use of T-targeted therapies and biologic drugs (i.e. anti-TNFα agents) in the treatment of this disease.

Encéphalite de Rasmussen : hypothèses physiopathologiques et traitement médical

“…Par contre, chez les patients dont la balance bénéfices-risques est favorable à la chirurgie, l'essai d'immunothérapie ne doit pas retarder la chirurgie. principalement des rapports de cas isolés avec un effet initial positif mais une récurrence à long terme [13]. Cependant, dans les séries plus importantes, les taux de réponse aux crises étaient faibles 2/13 [13], et l'impact sur le déficit neurologique et cognitif limité.…”

“…principalement des rapports de cas isolés avec un effet initial positif mais une récurrence à long terme [13]. Cependant, dans les séries plus importantes, les taux de réponse aux crises étaient faibles 2/13 [13], et l'impact sur le déficit neurologique et cognitif limité.…”

“…L'azathioprine n'a pas eu d'effet significatif sur la progression de l'atrophie en IRM, ni sur l'évolution cognitive. Le mycophénolate mofétil a été utilisé dans certains rapports de cas : avec un effet potentiel sur les crises et le déficit neurologique [13]. Il est généralement mieux toléré que l'azathioprine.…”

“…Bien que la justification physiopathologique de l'utilisation du rituximab ne semble pas évidente en raison de son effet principalement sur les lymphocytes B, il pourrait agir comme un traitement indirectement anti-lymphocytes T. [20]. Certains rapports de cas ont suggéré un effet bénéfique, mais d'autres n'ont trouvé qu'un effet transitoire ou aucun effet (Figure 3) [13]. Ainsi, les données sont encore incohérentes pour donner une conclusion claire sur son intérêt.…”

Seizure control after late introduction of anakinra in a patient with adult onset Rasmussen’s encephalitis

“…An increasing body of evidence indicates a potential effect of immunosuppressive therapy in RE, including high-dose corticosteroids, intravenous immunoglobulin (IVIG), and plasmapheresis, but also immunomodulatory agents like tacrolimus, and azathioprine, rituximab, and natalizumab [4] , [7] , [8] , [9] . However, it is unclear if immunotherapy can modify the long-term outcome like cognitive decline and neurological deterioration [5] , [10] . Generally, knowledge is sparse regarding the most appropriate choice and timing of anti-inflammatory therapy.…”