1979
DOI: 10.1515/ijsl.1979.21.63
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Quelques problèmes de l’hégémonie culturelle en France: langue nationale et langues régionales

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“…Par exemple, pour la France, J.-B. Marcellesi (1979) a théorisé la tension entre ce qu'il appelle le « français institutionnel » et la variation régionale dans les conditions de l'hégémonie culturelle. Dans le monde anglophone, H. G. Widdowson (1994) propose de définir la langue standard (l'anglais en l'occurrence) comme une variété sanctionnée socialement comme étant nécessaire à l'usage institutionnel et apte à transcrire le code écrit.…”
Section: La Diffusion De L'anglais : Des Problématiques Sociolinguunclassified
“…Par exemple, pour la France, J.-B. Marcellesi (1979) a théorisé la tension entre ce qu'il appelle le « français institutionnel » et la variation régionale dans les conditions de l'hégémonie culturelle. Dans le monde anglophone, H. G. Widdowson (1994) propose de définir la langue standard (l'anglais en l'occurrence) comme une variété sanctionnée socialement comme étant nécessaire à l'usage institutionnel et apte à transcrire le code écrit.…”
Section: La Diffusion De L'anglais : Des Problématiques Sociolinguunclassified
“…However, the notion of community is becoming blurred. Recognizing difference can become problematic because an individual may belong to several cultural and linguistic communities (Quell 2000) and more importantly, not all groups (or languages for that matter) are perfectly homogeneous (Marcellesi 1979; Rampton 2005). This is particularly evident, when one poses the questions, who or what constitutes an Anglophone, a Francophone, an Italian Canadian, for example?…”
Section: A Mosaic Of Official Discourses and “Lived” Contradictionsmentioning
confidence: 99%
“…En effet, le français que reflètent les grands dictionnaires est un français écrit, normé, littéraire et calqué avant tout sur l'usage parisien. Comme cela a été souligné par certains (Goosse 1977, Marcellesi 1979, le français des provinces est largement absent de ces nomenclatures et une meilleure prise en compte des variantes régionales de l'Hexagone obligerait souvent à atténuer le caractère soi-disant spécifique du français de Belgique. A cet égard, il est intéressant de noter que pratiquement la moitié des substantifs propres au français de Belgique (Laleman 1994, Thielemans 1993 sont des faux amis et que les trois quarts d'entre eux sont en plus des faux amis partiels, c'est-à-dire des mots qui ne diffèrent que dans une de leurs acceptions du français central, p. ex.…”
Section: Le Français De Belgique En Généralunclassified