Programming ovulation in the menstrual cycle by a simple innovative approach: back to the future of assisted reproduction

A simplified approach to religious infertility

“…The patients in the present study ovulated 5 to 15 days after the cessation of estrogen therapy (mean 9.8 Ϯ 2.7 days, median 10 days), in agreement with the findings of de Ziegler et al (9) that exogenous estrogen may inhibit follicular recruitment and growth for up to 2 weeks after the onset of the last menstrual period. In a later work, the same group (10) showed that it is feasible and practical to program ovulation in the menstrual cycle with exogenous estrogen, starting on day 25 of the previous cycle. This regimen resulted in a preovulatory LH surge 13 days after cessation of estrogen therapy (10).…”

“…In a later work, the same group (10) showed that it is feasible and practical to program ovulation in the menstrual cycle with exogenous estrogen, starting on day 25 of the previous cycle. This regimen resulted in a preovulatory LH surge 13 days after cessation of estrogen therapy (10). In the present series, estrogen treatment resulted in a 23% pregnancy rate per cycle, which is similar to the natural conception rate in the normal fertile population.…”

Identification du signal FSH intercycle par la mesure de la FSH urinaire (FSHu)

“…Ce deuxième pic était associé à la présence de follicules en croissance (> 12 mm) dès le dixième jour du cycle après l'arrêt de prise d'estradiol exogène et à la présence d'un pic de LH, confirmant qu'il s'agissait de cycles ovulatoires. Les avantages liés aux cycles synchronisés sont multiples et ont déjà été décrits par de Ziegler et al [16]. Le moment du signal intercycle est plus constant et par conséquent son identification est plus fiable.…”

“…Les dosages répétés de la FSH et de la LH dans les urines ont une implication clinique importante car ils offrent des informations qui permettent d'optimiser les chances de conception dans un cycle donné. En cas de stimulation ovarienne contrôlée [16], le jour du début du traitement peut être choisi avec précision. Enfin, la synchronisation des cycles assure une meilleure flexibilité dans l'organisation du traitement, qui constitue un avantage tant pour les soignants et que pour les couples, sans effet délétère sur le taux de grossesse.…”

“…En pratique, pour respecter ces conditions, il est indispensable d'adapter le traitement en fonction de la longueur du cycle, afin que la prise d'estradiol (E2) [8] soit débutée trois jours avant les règles et soit stoppée après leur déclenchement. Une fois que ce traitement est interrompu, un pic FSH intercycle survient dans les jours suivants [16].…”