“…Il est difficile de retrouver dans la littérature des études portant simultanément sur les tumeurs malignes et bénignes de la glande submandibulaire. La plupart des études porte sur: les glandes salivaires, les submandibulectomies [9, 10], les tumeurs bénignes submandibulaires [11], tumeurs malignes submandibulaires [12–14] et des cas cliniques [15–17]. L’âge moyen de découverte des tumeurs submandibulaires était de 34,42 ans dans notre étude; ce résultat est proche de celui de Moatemri et al [1], qui était de 40 ans.…”
Section: Discussionunclassified
“…L’âge moyen de découverte des tumeurs submandibulaires était de 34,42 ans dans notre étude; ce résultat est proche de celui de Moatemri et al [1], qui était de 40 ans. Mais cet âge était différent de celui de Ethunandan et al [14] et de Rapidis et al [10] (54 ans et 60 ans respectivement). La prédominance féminine rapportée par certains auteurs [10, 14] a été confirmée dans notre étude.…”
IntroductionIl s'agit de déterminer les profils épidémiologiques et histologiques des tumeurs submandibulaires.MéthodesIl s'agissait d'une étude rétrospective et descriptive de 10 ans (1er janvier 2000 au 31 décembre 2009), réalisée dans le service universitaire d'ORL de l'hôpital de Fann. Etaient inclus dans cette étude tous patients porteurs d'une tumeur submandibulaire (opéré ou non), confirmée par un document histologique.RésultatsVingt-une tumeurs submandibulaires ont été colligées. L’âge moyen des patients était de 34,42 ans (± 14,10), avec des extrêmes de 2 et 55 ans. Quinze patients (71,4%) étaient de sexe féminin, soit un sex-ratio de 0,4. Les résultats histologiques étaient obtenus à partir de 4 biopsies et de 17 pièces opératoires. Dans 13 cas (61,9%) la tumeur était bénigne et dans 8 cas (38,1%) la tumeur était maligne. L'adénome pléomorphe dans 12 cas (57,1%), le carcinome épidermoïde dans 4 cas (19%) et l'adénocarcinome dans 2 cas (9,5%) étaient les types histologiques fréquents. Treize (13) patients étaient porteurs d'une tumeur bénigne, dont huit (8) patients étaient de sexe féminin. Huit (8) patients étaient porteurs d'une tumeur maligne. Sept patients étaient de sexe féminin.ConclusionCette étude sur les tumeurs submandibulaires est marquée par une prédominance féminine et une fréquence élevée des adénomes pléomorphes et des carcinomes épidermoïdes.
“…Il est difficile de retrouver dans la littérature des études portant simultanément sur les tumeurs malignes et bénignes de la glande submandibulaire. La plupart des études porte sur: les glandes salivaires, les submandibulectomies [9, 10], les tumeurs bénignes submandibulaires [11], tumeurs malignes submandibulaires [12–14] et des cas cliniques [15–17]. L’âge moyen de découverte des tumeurs submandibulaires était de 34,42 ans dans notre étude; ce résultat est proche de celui de Moatemri et al [1], qui était de 40 ans.…”
Section: Discussionunclassified
“…L’âge moyen de découverte des tumeurs submandibulaires était de 34,42 ans dans notre étude; ce résultat est proche de celui de Moatemri et al [1], qui était de 40 ans. Mais cet âge était différent de celui de Ethunandan et al [14] et de Rapidis et al [10] (54 ans et 60 ans respectivement). La prédominance féminine rapportée par certains auteurs [10, 14] a été confirmée dans notre étude.…”
IntroductionIl s'agit de déterminer les profils épidémiologiques et histologiques des tumeurs submandibulaires.MéthodesIl s'agissait d'une étude rétrospective et descriptive de 10 ans (1er janvier 2000 au 31 décembre 2009), réalisée dans le service universitaire d'ORL de l'hôpital de Fann. Etaient inclus dans cette étude tous patients porteurs d'une tumeur submandibulaire (opéré ou non), confirmée par un document histologique.RésultatsVingt-une tumeurs submandibulaires ont été colligées. L’âge moyen des patients était de 34,42 ans (± 14,10), avec des extrêmes de 2 et 55 ans. Quinze patients (71,4%) étaient de sexe féminin, soit un sex-ratio de 0,4. Les résultats histologiques étaient obtenus à partir de 4 biopsies et de 17 pièces opératoires. Dans 13 cas (61,9%) la tumeur était bénigne et dans 8 cas (38,1%) la tumeur était maligne. L'adénome pléomorphe dans 12 cas (57,1%), le carcinome épidermoïde dans 4 cas (19%) et l'adénocarcinome dans 2 cas (9,5%) étaient les types histologiques fréquents. Treize (13) patients étaient porteurs d'une tumeur bénigne, dont huit (8) patients étaient de sexe féminin. Huit (8) patients étaient porteurs d'une tumeur maligne. Sept patients étaient de sexe féminin.ConclusionCette étude sur les tumeurs submandibulaires est marquée par une prédominance féminine et une fréquence élevée des adénomes pléomorphes et des carcinomes épidermoïdes.
“…The tumors have complex morphologic appearance and different clinical behavior, a fact that renders their difficulty in diagnosis 1,2 . These tumors are rare lesions; represent less than 1% of all tumors and 3-6% of all head and neck neoplasms in various reports 3,4 . The annual incidence of salivary gland cancers ranges from 0.5 to 2 per 100,000 in different parts of the world 5 .…”
Background: Major salivary gland tumors comprise a morphologically diverse group of rare tumors. The tumors also have variations in their clinicopathological profile related to racial and geographic differences. Objective: To find out the frequency of different types of major salivary gland neoplasm. Methodology: This cross sectional study was carried out on 50 patients having major salivary gland tumor in the departments of Otolaryngology of Bangabandhu Sheikh Mujib Medical University, Dhaka Medical College Hospital and Sir Salimullah Medical College Hospital from January 2010 to September 2010. Result: In this study, most cases occur in 5th decade. Incidence of malignant and benign parotid neoplasm was found 23.8% and 76.2% respectively. Benign and malignant tumors of submandibular gland were 50% in each group. No sublingual gland neoplasm was found in this group. Conclusion: Parotid gland was the most common site of origin of both benign and malignant tumours. Plemorphic adenoma was the most common benign salivary gland tumour and mucoepidermoid carcinoma was the most frequent malignant neoplasm. [J Shaheed Suhrawardy Med Coll, 2013;5(1):43-45]
“…1,2 They are a heterogeneous group of tumours and present distinct clinicopathological features. Parotid gland accounts for 80% of salivary gland tumors followed by submandibular gland (10-15%).…”
INTRODUCTIONTumours of salivary glands are rare constituting less than one percent of all tumours and 3% to 10% of the neoplasms of head and neck region.1,2 They are a heterogeneous group of tumours and present distinct clinicopathological features. Parotid gland accounts for 80% of salivary gland tumors followed by submandibular gland (10-15%).3 Majority of the primary tumours of salivary glands are benign but diagnosis of malignant tumours pose many difficulties in routine practice due to a wide spectrum of entities with overlapping in morphology.The histopathological features are intricate and differences between different types are very subtle and as such many challenges are encountered in establishing histological diagnosis, classification and grading of salivary gland neoplasms. The present work is taken up to study the incidence of salivary gland tumours in our ABSTRACT Background: Tumours of salivary glands are rare neoplasms of head and neck region accounting for less than one percent of all tumours. Parotid gland accounts for majority of tumors followed by submandibular gland. As such many challenges are encountered in establishing histological diagnosis, classification, grading and management of salivary gland neoplasms. This study is taken up to study the incidence of salivary gland tumours in our institution and analyse histological criteria for diagnosis and grading systems in vogue for common malignant lesions.
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