2013
DOI: 10.1177/0333102413490343
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Preventive treatment for migraine in primary care, a population-based study in the Netherlands

Abstract: This large primary-care database study shows that a limited number of patients are current users of preventive treatment, but many patients have prior use. After diagnosis there is often an extended time before preventive treatment is applied. Also there is often only one attempt. The continuation in time seems appropriate. Preventive therapy in migraine still deserves focus.

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“…En considérant le niveau de preuves d'efficacité, la balance bénéfice/risque, l'existence d'une AMM et la disponibilité des médicaments dans nos pays, les molécules à privilégier en première intention sont le propranolol et le métoprolol, en l'absence de contre-indication à l'utilisation des bêtabloquants [34–36]. En cas de contre-indication, d'intolérance ou d'inefficacité, le choix de la molécule repose sur le terrain, les comorbidités et la sévérité de la migraine en considérant toujours la balance bénéfice/risque (poids, sédation, asthénie et risque tératogène) et l'existence d'une AMM [27, 37]. Quelques situations cliniques permettent d'orienter le choix de la molécule à utiliser [38–40]: tendance à la prise de poids: éviter l'amitriptyline, le pizotifène et le valproate de sodium, et préconiser le topiramate; syndrome de raynaud, asthme, troubles sexuels, pratique du sport: éviter les bétabloquants; tendance à la constipation: éviter l'amitriptyline; tendance dépressive, troubles du sommeil, céphalées de tension associées: préférer l'amitriptyline; hypertension artérielle associée, stress: privilégier les bétabloquants; migraine avec aura: éviter les bétabloquants et privilégier les antiépileptiques.…”
Section: Etat Actuel Des Connaissancesunclassified
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“…En considérant le niveau de preuves d'efficacité, la balance bénéfice/risque, l'existence d'une AMM et la disponibilité des médicaments dans nos pays, les molécules à privilégier en première intention sont le propranolol et le métoprolol, en l'absence de contre-indication à l'utilisation des bêtabloquants [34–36]. En cas de contre-indication, d'intolérance ou d'inefficacité, le choix de la molécule repose sur le terrain, les comorbidités et la sévérité de la migraine en considérant toujours la balance bénéfice/risque (poids, sédation, asthénie et risque tératogène) et l'existence d'une AMM [27, 37]. Quelques situations cliniques permettent d'orienter le choix de la molécule à utiliser [38–40]: tendance à la prise de poids: éviter l'amitriptyline, le pizotifène et le valproate de sodium, et préconiser le topiramate; syndrome de raynaud, asthme, troubles sexuels, pratique du sport: éviter les bétabloquants; tendance à la constipation: éviter l'amitriptyline; tendance dépressive, troubles du sommeil, céphalées de tension associées: préférer l'amitriptyline; hypertension artérielle associée, stress: privilégier les bétabloquants; migraine avec aura: éviter les bétabloquants et privilégier les antiépileptiques.…”
Section: Etat Actuel Des Connaissancesunclassified
“…En cas d’échec (réduction des crises < 50%), une association à dose minimale efficace est envisageable, en évitant la même classe thérapeutique et l'association d'un triptan à un autre vasoconstricteur. Il est recommandé de débuter le traitement prophylactique par une monothérapie à faible dose [28, 37, 38]. La posologie peut ensuite être augmentée de façon progressive pour atteindre un effet optimal.…”
Section: Etat Actuel Des Connaissancesunclassified
“…It is often assumed that these patients will follow‐up with an outpatient physician to receive care; however, there are few headache specialists in the US, the average wait time to see a neurologist (6 weeks in the US) is felt to be excessive and is projected to worsen with time, and referral to primary care for migraine management may not result in accurate diagnosis or the best treatment . Research has shown that there is a 4‐year delay between migraine diagnosis and the start of preventive treatment in the primary care setting …”
Section: Introductionmentioning
confidence: 99%
“…Close to 40% of adults with migraine need preventive therapy, but only 13% actually receive it 4. This deficiency is compounded by an average delay of four years between migraine diagnosis and the start of preventive medication 5. Given the relative scarcity of neurologists (with a projected shortfall of 18% by 2025)6 as well as headache specialists nationally,7 it is challenging to meet the urgent specialty care needs of the headache population.…”
Section: Introductionmentioning
confidence: 99%