2005
DOI: 10.3917/dio.212.0003
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“…"Fondamentalement, le Patayani n'a qu'un seul spectateur: la Déesse", affirme pour sa part le maître de Patayani Chelappan Pillairl, et son fils Reghu ajoute que, "si le Patayani a êtê rcprêsenté dans les règles de I'art, les diverses communautés rattachées au sanctuaire où il s'est donné jouiront du bonheur et de la prospérité durant I'année à venir"; mais qu'en revanche "si les responsables du sanctuaire renonçaient au Patayani ou si ils en dénaturaient le déroulement, les calamités ne manqueraient pas de frapper la population".La raison en serait que, si le Patayani n'gjait pas du tout ou mal représenté, "lacolère de la Déesse ressurgirait alors et s'abattrait sur les fautifs"lz. La danse des kôlam est appelée tultral, un nom qui, comme nous l'avons vu, signifie "saut", "bond", "tremblement" et qui désigne aussi la possession des veliccappatu.ll "s'applique en principe toujours aux signes extérieurs stéréotypés de la possession (à l'exception des tultral de scène, divertissements dévotionnels dansés" (Tarabout L986:212 Tarabout (1986) et Marc Lambert (1,999 (1986: 244-247 La foule assise par terre autour du kalam est extrêmement dense, et I'atmosphère de plus en plus échauffée. A mon côté, un personnage passablement éméch{ à I'haleine chargée, n'arrête pas de me répéter "Breaking coconLûs, breaking coconuts!…”
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“…"Fondamentalement, le Patayani n'a qu'un seul spectateur: la Déesse", affirme pour sa part le maître de Patayani Chelappan Pillairl, et son fils Reghu ajoute que, "si le Patayani a êtê rcprêsenté dans les règles de I'art, les diverses communautés rattachées au sanctuaire où il s'est donné jouiront du bonheur et de la prospérité durant I'année à venir"; mais qu'en revanche "si les responsables du sanctuaire renonçaient au Patayani ou si ils en dénaturaient le déroulement, les calamités ne manqueraient pas de frapper la population".La raison en serait que, si le Patayani n'gjait pas du tout ou mal représenté, "lacolère de la Déesse ressurgirait alors et s'abattrait sur les fautifs"lz. La danse des kôlam est appelée tultral, un nom qui, comme nous l'avons vu, signifie "saut", "bond", "tremblement" et qui désigne aussi la possession des veliccappatu.ll "s'applique en principe toujours aux signes extérieurs stéréotypés de la possession (à l'exception des tultral de scène, divertissements dévotionnels dansés" (Tarabout L986:212 Tarabout (1986) et Marc Lambert (1,999 (1986: 244-247 La foule assise par terre autour du kalam est extrêmement dense, et I'atmosphère de plus en plus échauffée. A mon côté, un personnage passablement éméch{ à I'haleine chargée, n'arrête pas de me répéter "Breaking coconLûs, breaking coconuts!…”
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“…La plupart des idiophones métalliques, en particulier les gongs et les cymbales, sont pour leur part considérés comme rituellement neutres, tandis que la trompe kompu et le hautbois kuryr.n' kuzhal seraient des instruments "auxiliaires" en raison de leur association occasionnelle av ce({a asurique (Guillebaud 2003a: 366,390 Le tableau et la liste descriptive ci-dessous adoptent donc le système de classification de l'organologie courante. Ils présentent les instruments que nous avons pu observer au Kerala, complétés par quelques types signalés notamment par Tarabout (1986), Groesbeck (1995), Venu (2002) et Guillebaud (2003a). On notera que les instruments propres à la musique carnatique de I'Inde du Sudqui ne sont donc pas spécifiques au Kerala -y sont indiqués par le signe ['].…”
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