“…La prazosine pourrait aussi être envisageable à l’enfance (Oluwabusi et al, 2012; Strawn & Keeshin, 2011). Les résultats suggèrent qu’elle semble plus avantageuse, en termes d’argent, de temps et d’énergie, que les traitements psychologiques (Gehrman & Harb, 2010; Lorenz et al, 2013; Oluwabusi et al, 2012; Strawn & Keeshin, 2011), mais les symptômes reviendraient à la suite de l’arrêt de la molécule (Lorenz et al, 2013; Oluwabusi et al, 2012; Strawn & Keeshin, 2011), alors que les gains thérapeutiques se maintiendraient pendant plusieurs mois, voire plusieurs années suite à la RRIM (Davis et al, 2003; Krakow, Sandoval, et al, 2001; Kroese & Thomas, 2006; Strawn & Keeshin, 2011; Willner, 2004). Pour les autres formes de traitements pharmacologiques, soit les antihypertenseurs (clinidine, terazosine), l’antihistaminique (cyproheptadine) et l’inhibiteur sélectif de la recapture du GABA, ils diminuaient modérément les SPN, toutefois, les symptômes tendaient à revenir lors de l’arrêt de la médication.…”