Pituitary apoplexy in pregnancy: A case series and literature review

Grand'Maison, Sophie; Weber, Florence; Bédard, Marie‐Josée; Mahone, Michèle; Godbout, Ariane

doi:10.1177/1753495x15598917

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“…Pituitary apoplexy is a rare cause of sudden and severe headache during pregnancy [ 51 ]. The sudden rise of a severe headache, with nausea, vomiting, ophtalmoplegia, altered consciousness and accompanied from onset or later by visual symptoms and/or hypopituitarism must raise the clinical suspicion of a pituitary apoplexy [ 4 , 50 ].…”

Section: Clinical Headache Phenotypes and Observational Studies In Prmentioning

confidence: 99%

Headache and pregnancy: a systematic review

et al. 2017

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This systematic review summarizes the existing data on headache and pregnancy with a scope on clinical headache phenotypes, treatment of headaches in pregnancy and effects of headache medications on the child during pregnancy and breastfeeding, headache related complications, and diagnostics of headache in pregnancy. Headache during pregnancy can be both primary and secondary, and in the last case can be a symptom of a life-threatening condition. The most common secondary headaches are stroke, cerebral venous thrombosis, subarachnoid hemorrhage, pituitary tumor, choriocarcinoma, eclampsia, preeclampsia, idiopathic intracranial hypertension, and reversible cerebral vasoconstriction syndrome. Migraine is a risk factor for pregnancy complications, particularly vascular events. Data regarding other primary headache conditions are still scarce. Early diagnostics of the disease manifested by headache is important for mother and fetus life. It is especially important to identify “red flag symptoms” suggesting that headache is a symptom of a serious disease. In order to exclude a secondary headache additional studies can be necessary: electroencephalography, ultrasound of the vessels of the head and neck, brain MRI and MR angiography with contrast ophthalmoscopy and lumbar puncture. During pregnancy and breastfeeding the preferred therapeutic strategy for the treatment of primary headaches should always be a non-pharmacological one. Treatment should not be postponed as an undermanaged headache can lead to stress, sleep deprivation, depression and poor nutritional intake that in turn can have negative consequences for both mother and baby. Therefore, if non-pharmacological interventions seem inadequate, a well-considered choice should be made concerning the use of medication, taking into account all the benefits and possible risks.

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Section: Clinical Headache Phenotypes and Observational Studies In Prmentioning

confidence: 99%

Headache and pregnancy: a systematic review

et al. 2017

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“…Concernant L'âge gestationnel moyen au début des symptômes dans la littérature est de 24 semaines [5], ce qui rejoint le cas de notre patiente. 4 cas décrits sont survenus en post partum.…”

Section: Discussion:-unclassified

“…Deux patientes n'ont reçu aucun traitement. Une radiothérapie en post partum a été réalisée dans un seul cas [5].…”

Section: Discussion:-unclassified

“…Une montée progressive du taux de prolactine au cours de la grossesse est physiologique du fait de L'hyperplasie hypophysaire, elle peut atteindre 200-300 ng/ml, voire 450 ng/ml dans certains cas[4], le taux initiale de prolactine chez notre patiente était fortement élevé à 1000ng/ml.Les manifestations cliniques d'apoplexie hypophysaire au cours de la grossesse sont variées avec en premier lieu des céphalées intenses, brutales, le plus souvent rétro-orbitaires ou frontales, et parfois diffuses. Elles sont retrouvées dans (95%) des cas[5] et peuvent mimer la douleur observée dans les irritations méningées[6]. les anomalies de la vision, sont retrouvées dans 61 % des cas[5].…”

unclassified

“…Elles sont retrouvées dans (95%) des cas[5] et peuvent mimer la douleur observée dans les irritations méningées[6]. les anomalies de la vision, sont retrouvées dans 61 % des cas[5]. la simple somnolence au coma[7,8] sont en rapport avec hémorragie sous-arachnoïdienne, une augmentation de la pression intracrânienne, une hydrocéphalie obstructive ou une compression hypothalamique[9].…”

unclassified

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Lapoplexie Hypophysaire Au Cours De La Grossesse: A Propos Dun Cas.

Elbahi¹,

Rafi²,

Elmghari³

et al. 2019

IJAR

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L'apopléxie hypophysaire au cours de la grossesse est redoutable, Elle constitue une urgence diagnostique et thérapeutique pouvant mettre en jeu le pronostic foeto-maternel vital et fonctionnel. Le risque d'apoplexie hypophysaire au cours de la grossesse se trouve augmenté du faite de l'hyperestrogenie physiologique, qui peut conduire a une augmentation du volume des prolactinomes. Nous rapportons un cas rare illustrant le défi de prise en charge d'un microprolactinome compliqué d'une apoplexie tumorale découverte au cours de la 24ème semaines d'aménorrhée (SA)de la grossesse. Observation Mme A .A âgée de 30ans ayant un antécédent une infertilité primaire depuis 5ans. suivie depuis 9ans pour un micorprolactinome hypophysaire de 6*3mm avec une prolactiémie en regard à 200ng/ml mise sous dostinex 1cp/semaine qu'elle a pris pendant 4mois est a arrêté d'elle-même puis elle a été perdue de vue. A 24 SA la patiente a signalé une céphalée intense brutale, accompagnée de nausées, des vomissements, de vertige et de brouillard visuel, sans troubles de conscience. La patiente a consulté initialement chez un gynécologue, un bilan de pré éclampsie fait est revenu normal, la patiente a été mise sous traitement symptomatique puis libérée. Une semaine plus tard, La patiente est revenue aux urgences dans le même tableau sus-décrit, la tension artérielle était à 12 /8 cm l'examen ophtalmologique trouve une hémianopsie bitemporale sans diplopie ni paralysie oculomotrice, une IRM hypophysaire a été demandé devant la normalité préalable des investgations par rapport à la préeclampsie. L'IRM hypophysaire a mis en évidence un niveau liquide-liquide au sein d'un prosessus kystique à portion charnue mesurant 3*2,5 cm refoulant le chiasma optique (figure 1). L'exploration hormonale trouve une insuffisance corticotrope et thyréotrope: Cortisol à 5,4µg/dl(6-19), TSH=0,44 (0,27-4,5)mui/L, T4=9,45pmol/l (12-22), prolactinémie=1000ng/ml, Le bilan de coagulation était normal, L'évaluation obstétricale trouve une grossesse mono-foetale évolutive, un placenta fundique et une estimation du poids foetale de 894g.

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Macroprolactinomas

Molitch¹

2018

Endocrine and Metabolic Medical Emergencies

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Pituitary apoplexy in pregnancy: A case series and literature review

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Headache and pregnancy: a systematic review

Headache and pregnancy: a systematic review

Lapoplexie Hypophysaire Au Cours De La Grossesse: A Propos Dun Cas.

Macroprolactinomas

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