Pancreatic Injury in the Athlete

Abstract

Pancreatic injuries in the athlete are seldom reported in the literature. These injuries can result from atraumatic etiologies and blunt abdominal trauma. Atraumatic pancreatic injuries in the athlete are diagnosed and treated in a similar manner to the nonathletic patient. Fluid replacement, analgesic support, metabolic stabilization, and minimization of gastric stimulation are the primary management methods for this type of pancreatic injury. Athletically related traumatic pancreatic injury is associated with a high morbidity and mortality. The consequences of a delayed diagnosis make this type of injury an important diagnostic consideration in an athlete with abdominal pain. Initial clinical, radiologic, and laboratory findings of direct injury to the pancreas are often equivocal, and require clinical suspicion and further investigation. Current evidence suggests that pancreatic duct injury is the primary cause of the morbidity and mortality associated with the direct trauma. A conservative or surgical management plan should be based on a combination of serial clinical examinations, pancreatic enzyme levels, and either magnetic resonance retrograde choleopancreatogram or endoscopic retrograde chloangiopancreatography investigations to rule out ductal injury. The prevention of pancreatic and other intra-abdominal injuries is an evolving area of sports medicine research. Sports specific epidemiologic data collection and analysis are important elements in the development of evidence-based interventions.

Purpura du sportif

“…En cas de traumatisme abdominal chez un sportif, les signes de Cullen (hématome périombilical) ou de Gray Turner (hématome des flancs) [26] doivent faire évoquer une possible hémorragie rétropéritonéale, en relation avec un traumatisme splénique [27] ou pancréatique [28,29]. Les traumatismes pancréatiques et spléniques ont une morbidité et une mortalité élevée [27,29].…”

“…Les traumatismes pancréatiques et spléniques ont une morbidité et une mortalité élevée [27,29]. Ainsi, la rate est l'organe le plus souvent atteint avec le foie lors d'un traumatisme abdominal sans plaie pénétrante [27] et constitue la première cause de mortalité chez l'athlète traumatisé abdominal [29].…”

“…Ils ont été décrits notamment lors de la pratique de surfboard, de snowboard, de lacrosse, de vélo tout terrain ou de chutes au football [27]. Le pancréas est essentiellement atteint lors d'impacts directs abdominaux par compression entre le rachis et l'agent impactant [29]. Il n'est donc pas étonnant que les traumatismes pancréatiques aient été rapportés lors du football américain, du football et des sports de combat (karaté.…”

“….). Un cas particulier est à évoquer chez l'enfant : c'est le classique traumatisme abdominal par chute sur le guidon [29,30]. Fait important, un hématome de la paroi abdominale n'est trouvé que dans un tiers des cas de traumatismes pancréatiques [31].…”