“…D'ailleurs, le recours à la forme picturale en littérature n'est pas propre à Guillaume Apollinaire, mais il prend de plus en plus d'ampleur dans la littérature moderne où le dessin sert d'auxiliaire au récit. (6) Mais, de notre côté, en comparant quelques calligrammes d'Apollinaire à quelques tableaux de Dali sous cet angle, nous allons montrer comment, par la forme basée sur la déformation ou la déconstruction, se révèle une image de l'abîme appartenant à l'imaginaire de la guerre sur le plan symbolique, laquelle est construite autour d'un réseau défini de significations.…”