“…Il semble en effet que les changements syntaxiques, s'ils autorisent une présentation plus affinée et plus précise des degrés de dynamisme communicatif, s'accompagnent aussi d'un accroissement du nombre des « unités d'information » que contient l'énoncé (cf. Chafe, 1994 ;Lambrecht, 1984Lambrecht, , 1987, en particulier des prédications secondes, qui se substituent, dans bon nombre de cas, à des prédicats qui, en ancien français, étaient portés par des subordonnées (cf. Combettes, 2000).…”