“…De l'autre côté, l'augmentation des données brutes générées, directement sur les séries osseuses ou par l'exploitation de modèles virtuels, a augmenté les difficultés de gestion et de traitement de ces données, sans que de nouvelles formes de diffusion et de partage n'aient été clairement définies. Près d'une trentaine d'anthropologues et archéo-anthropologues, étudiants, chercheurs, professionnels du terrain préventif ou programmé, gestionnaires de collections, ont nourri ces réflexions autour de dix communications affichées [2][3][4][5][6][7][8][9][10][11], dont quatre font l'objet de notes dans ce numéro [12][13][14][15]. Le premier enjeu commun à l'ensemble de ces outils informatiques, développés par des anthropologues issus d'institutions diverses, en fonction de leurs propres expériences et besoins, est l'optimisation de l'enregistrement des données anthropologiques produites en grande quantité par l'archéologie préventive.…”