Natural history of serum HIV-1 RNA levels in 330 patients with a known date of infection

Hubert, Jean‐Baptiste; Burgard, Marianne; Dussaix, Élisabeth; Tamalet, Catherine; Deveau, Christiane; Chenadec, Jérôme Le; Chaix, Marie‐Laure; Marchadier, Eric; Vildé, J. L.; Delfraissy, J. F.; Meyer, Laurence; Rouzioux, Christine

doi:10.1097/00002030-200001280-00007

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“…In adults, during the period of primary infection, HIV-1 RNA copy number initially rises to high peak levels, rapidly followed by a 2-to 3-log 10 decrease until reaching a steady-state plateau (the virologic "setpoint") within approximately 6 to 9 months after the acquisition of HIV infection. 15,39 In contrast, the initial burst of viremia in children can reach higher values (Ͼ10 6 copies/mL). In addition, RNA copy number slowly declines even without treatment during the first years after birth and persists at higher levels than those observed in most infected adults.…”

Section: Discussionmentioning

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“…10 -12 Numerous studies performed in adults have demonstrated that HIV-1 RNA levels are independent predictors of disease progression and have resulted in clinical guidelines. [13][14][15] In contrast, pediatric studies are scarce and antiretroviral therapy (ART) guidelines remain broad. In the Women and Infants Transmission Study cohort, Shearer et al 12 reported that the median HIV-1 RNA levels over the first 2 months of life in infected children were predictive of an increased rate of disease progression.…”

mentioning

confidence: 99%

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Pediatric Viral Human Immunodeficiency Virus Type 1 RNA Levels, Timing of Infection, and Disease Progression in African HIV-1-Infected Children

Raffi

Sakarovitch²,

Msellati³

et al. 2003

Pediatrics

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ABSTRACT. Objective. To describe plasma human immunodeficiency virus type 1 (HIV-1) RNA levels in African HIV-1-infected children in relation to the timing of infection and disease progression.Methods. A retrospective cohort study was conducted of 80 children who were born to HIV-1-positive mothers and clinically followed from birth to 18 months of age in the ANRS 049 Ditrame project, Abidjan, Cô te d'Ivoire (West Africa). The diagnosis and timing of pediatric HIV-1 infection were determined prospectively according to HIV-1 DNA polymerase chain reaction results. A total of 364 HIV-1 RNA viral load (VL) measurements were assessed retrospectively. Kaplan-Meier analyses and proportional hazards models were used to evaluate the prognostic value of pediatric VL and covariates for HIV disease progression or death.Results. Mean initial positive VL was significantly lower among children who were infected in utero (4.94 log 10 /mL, n ‫؍‬ 12) than in children who were infected later (5.6 -6.1 log 10 /mL, n ‫؍‬ 68). In the first 6 months after diagnosis, HIV-1 RNA levels peaked (>6 log 10 /mL), regardless of timing of infection. Then, a slow decline (overall slope, ؊0.076 log 10 copies/mL/mo) was observed until 18 months of age. A 1 log 10 higher value of the pediatric peak VL (risk ratio [

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Section: Discussionmentioning

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Pediatric Viral Human Immunodeficiency Virus Type 1 RNA Levels, Timing of Infection, and Disease Progression in African HIV-1-Infected Children

Raffi

Sakarovitch²,

Msellati³

et al. 2003

Pediatrics

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“…Acute HIV-infected patients (ACUTE, n517) were defined as negative in the presence of HIV antibody but positive for HIV RNA. 22 The average infection time of acute HIV-infected patients was 59 (59635.38) days. Patients with progressive disease with less than 350 CD4 1 cells/ml and requiring highly active antiretroviral therapy (HAART) according to the WHO recommendation within 2 years after diagnosis were classified as fast progressors (FPs, n521), and those who did not require HAART (greater than 350 CD4 1 cells/ml) within 2 years were defined as slow progressors (SPs, n537).…”

Section: Study Subjectsmentioning

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Distortion of memory Vδ2 γδ T cells contributes to immune dysfunction in chronic HIV infection

Jiao

et al. 2014

Cell Mol Immunol

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“…La charge virale plasmatique et le taux de CD4 sont des marqueurs très prédictifs de la progression spontanée ultérieure de la maladie [15,16], qu'ils soient mesurés chez des séroconver-teurs ou chez des sujets diagnostiqués au stade chronique. Des taux de CD4 différents entre les sexes ont été décrits chez des sujets non infectés, soit en population générale [17], soit chez des enfants non infectés nés de mères séropositives [18].…”

Section: Comparaison Des Niveaux Des Marqueurs Cd4 Et Charge Viraleunclassified

Clinique et transmission du VIH chez les femmes : revue de la littérature

Meyer

2008

Med Sci (Paris)

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RésuméLa progression spontanée de la maladie à VIH des femmes est similaire, voire plus lente, comparée à celle des hommes. L'initiation d'un traitement pourrait ainsi être retardée chez les femmes puisque celui-ci est basé sur des niveaux de CD4 et de charge virale qui sont spontanément plus favorables chez ces femmes. Cependant, la réponse au traitement viro-immunologique et clinique est similaire, voire meilleure, chez elles, en dépit des taux d'interruption plus élevés, peut-être en rapport avec des effets indésirables plus fréquents. En dépit des progrès majeurs sur l'espérance de vie, un excès de mortalité par rapport à la population générale non infectée persiste. L'excès absolu est similaire chez les hommes et chez les femmes, mais la mortalité des femmes étant plus faible en population générale que chez les hommes, l'excès relatif est plus important chez elles. Comprendre les déterminants de ces excès de mortalité et les réduire constituent un enjeu important.Mots clés : sexe, genre, progression de la maladie à VIH, réponse au traitement antiretroviral, effets indésirables, grossesse, cancer du col, ménopause.Les premiers cas de sida ont été décrits en 1981 aux États-Unis chez des homosexuels masculins. À ses débuts, l'épidémie à VIH a été considérée comme touchant essentiellement les hommes homosexuels, alors que la transmission hétérosexuelle était pourtant déjà une réalité dans la plupart des pays touchés par l'épidémie. Les premières cohortes de sujets atteints par le VIH/ sida, constituées dans les années 1983-1984, ont surtout recruté des hommes homosexuels ou hémophiles. Cela explique sans doute, en partie, pourquoi la maladie a été longtemps moins bien décrite chez les femmes. Celles-ci représentent pourtant environ 50 % des personnes atteintes par le VIH dans le monde et plus encore dans certaines régions d'Afrique sub-saharienne. En France, 40 % des nouveaux diagnostics concernent actuellement des femmes. Dans cet article, sont examinés successivement d'éventuelles différences entre hommes et femmes sur le taux de transmission hétérosexuelle de l'infection, sur l'évolution spontanée de la maladie et révolution à l'ère des combinaisons puissantes Transmission hétérosexuelle du VIHPlusieurs études réalisées sur la transmission hétérosexuelle avant l'ère des thérapies antirétrovirale sont montré que le taux de transmission dépendait du stade de l'immunodéficience atteint par le cas index 2 , en termes de stade clinique, de taux de lymphocytes CD4 ou de niveau de charge virale [1,2]. Un très jeune âge était également un facteur de risque de transmission et d'acquisition, de même que, bien sûr, la non-utilisation systématique de préservatif lors des relations sexuelles. Le rôle de la présence d'une infection génitale dans le risque de contamination n'est pas retrouvé de façon constante [1,2], et les études randomisées de prévention des maladies sexuellement transmissibles n'ont pas toutes montré leur efficacité dans la réduction de l'incidence du VIH. Le taux de transmission de l'homme vers la fem...

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Natural history of serum HIV-1 RNA levels in 330 patients with a known date of infection

Abstract: Our study extends to the early post-seroconversion phase the prognostic value of extracellular HIV-1 RNA levels. Moreover, our data suggest that, in most HIV-infected individuals, a progressive loss of control of viral replication arises during the early years of HIV-1 infection.

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Pediatric Viral Human Immunodeficiency Virus Type 1 RNA Levels, Timing of Infection, and Disease Progression in African HIV-1-Infected Children

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Distortion of memory Vδ2 γδ T cells contributes to immune dysfunction in chronic HIV infection

Clinique et transmission du VIH chez les femmes : revue de la littérature

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