Motivation in medical education

Abstract

Motivation is a concept which has fascinated researchers for many decades. The field of medical education has become interested in motivation recently, having always assumed that medical students must be motivated because of their commitment to highly specific training, leading to a very specific profession. However, motivation is a major determinant of the quality of learning and success, the lack of which may well explain why teachers sometimes observe medical students who are discouraged, have lost interest or abandon their studies, with a feeling of powerlessness or resignation. After describing the importance of motivation for learning in medicine, this Guide will define the concept of motivation, setting it within the context of a social cognitive approach. In the second part of this Guide, recommendations are made, based upon the so-called "motivational dynamic model", which provides a multitude of various strategies with positive effects on students' motivation to learn.

Are health sciences students who sit at the back of the lecture hall not motivated?

“…The higher these three components of a student’s motivation, the higher his or her motivation. Based upon previous publications, Table 2 describes some relevant strategies in order to reach this goal, for each component of the motivation [9]. …”

Does the unexpected death of the manikin in a simulation maintain the participants’ perceived self-efficacy? An observational prospective study with medical students

“…Many studies have shown that the higher the level of perceived self-efficacy, the more they choose activities that challenge them and give them the opportunity to develop their skills, and the higher the learning objectives they set [12]. They also better face the difficulties in order to persevere, better regulate their efforts, manage stress and anxiety, and attain a higher level of performance [12]. On the other hand, people tend to engage in tasks in which they feel competent and avoid those in which they don’t [13, 14].…”

La motivation des étudiants en sciences de la santé : un levier pédagogique à exploiter et un objet de recherche à construire

“…Le premier renvoie à la difficulté qu'éprouvent les étudiants à mettre en lien le contenu scientifique de leur première année de formation avec le métier auquel ils sont venus se former, conduisant ainsi à une forme de « désenchantement » [2] . Le second résulte du caractère hautement compétitif des études de santé, notamment médicales, qui favorise la motivation à réussir, plutôt que la motivation à apprendre [4] . Certes, ces deux types de motivation, présentent l'un comme l'autre un intérêt, mais celuici est conditionné au fait que la réussite témoigne de la capacité de l'étudiant à mobiliser des stratégies d'apprentissage élaborées sur le plan cognitifconduisant à des apprentissages couramment dénom-més « en profondeur » -, alors même que l'on sait que les modalités d'évaluation, notamment en première année de médecine, n'encouragent pas le recours à de telles stratégies.…”

“…La motivation est un construit humain qui ne se voit qu'à travers un certain nombre d'indicateurs permettant d'appréhen-der son niveau chez une personne. Comme tout construit, son appropriation en tant qu'objet d'étude scientifique implique une démarche préalable et obligatoire de conceptualisation, visant à adosser son exploration à l'une des dizaines de théories élaborées dans le cadre des recherches menées dans le domaine de la psychologie et de l'éducation [4] . De l'approche psychanalytique freudienne aux conceptions sociocognitivistes, en passant par les courants humaniste -porté notamment par Maslow -et béhavioriste -marqué en particulier par les travaux de Hull et de Skinner-, la motivation fait l'objet de recherches scientifiques depuis plus d'un siècle [4] .…”

“…Comme tout construit, son appropriation en tant qu'objet d'étude scientifique implique une démarche préalable et obligatoire de conceptualisation, visant à adosser son exploration à l'une des dizaines de théories élaborées dans le cadre des recherches menées dans le domaine de la psychologie et de l'éducation [4] . De l'approche psychanalytique freudienne aux conceptions sociocognitivistes, en passant par les courants humaniste -porté notamment par Maslow -et béhavioriste -marqué en particulier par les travaux de Hull et de Skinner-, la motivation fait l'objet de recherches scientifiques depuis plus d'un siècle [4] . Badre et ses collaborateurs ont choisi d'inscrire leur démarche dans le cadre du courant d'expectation et de la valeur, qui a été investi par des chercheurs comme Lewin, Atkinson, Dweck, Leggett et Nuttin, et selon lequel le comportement d'une personne prend sa source dans la valeur qu'elle attribue au but qu'elle vise et dans le degré de confiance (« expectation ») qu'elle s'accorde afin d'y parvenir avec succès [3,4] .…”