Informatique théorique et applications, tome 21, n o 4 (1987), p. 379-417. © AFCET, 1987, tous droits réservés. L'accès aux archives de la revue « Informatique théorique et applications » implique l'accord avec les conditions générales d'utilisation (http://www.numdam. org/legal.php). Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d'une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente mention de copyright. Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques http://www.numdam.org/ Informatique théorique et Applications/Theoretical Informaties and Applications (vol. 21, n° 4, 1987, p. 379 à 418) MONOÏDE LIBRE ET MUSIQUE DEUXIÈME PARTIE* par Marc CHEMILLIER (*) Communiqué par J.-E. PIN Résumé.-II s'agit de la deuxième partie d'un article consacré aux possibilités d'application à la combinatoire musicale, de méthodes issues de Vinformatique théorique ou des mathématiques, faisant intervenir des automates, des arbres, des structures algébriques, etc. (Nous renvoyons à la première partie : Les musiciens ont-ils besoin des mathématiques ? in R.A.I.R.O., vol 21, n° 3). On définit tout d'abord un cadre algébrique (partie A), puis on expose à Vintérieur de ce cadre, certains algorithmes dont Vun en particulier concerne la reconnaissabilité par automate fini de la superposition de séquences musicales (partie B, section 4).