Method in Translation History

Pym, Anthony

doi:10.4324/9781315760049

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“…Ce faisant, il parvient à dégager l' effet des causes externes aux traducteurs, telles les contraintes linguistiques et les normes sociales et culturelles régissant le travail de traduction. Pour organiser les données recueillies, O'Driscoll a construit des tableaux selon les catégories interprétatives proposées par Pym (1998). Les quatre catégories, ou causes, repérées sont 1) matérielles, 2) finales, 3) formelles et 4) efficientes.…”

Section: Trish Van Bolderen University Of Ottawaunclassified

Kieran O’Driscoll. Retranslation through the Centuries: Jules Verne in English. Berne, Suisse, Peter Lang, 2011, 286 p.

Guénette

2013

TTR

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Section: Trish Van Bolderen University Of Ottawaunclassified

Kieran O’Driscoll. Retranslation through the Centuries: Jules Verne in English. Berne, Suisse, Peter Lang, 2011, 286 p.

Guénette

2013

TTR

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“…Rónai (2005: 49-54) tells of the case of classic novels commissioned into Brazilian Portuguese in which the translator merely replaces the continental Portuguese syntax and pronouns with the Brazilian counterparts, labels the translation a revised translation, and omits all credit to the original translator. Pym's notion of weakly marked translations (Pym 1998: 60, cited in Pieta 2010 may be invoked in such cases. Yet no concept can help us where we cannot discern such translations, and who can say how many there are?…”

Section: Transitive and Terminal Translations Overt And Covertmentioning

confidence: 99%

Nonlinear Narratives: Paths of Indirect and Relay Translation

Washbourne

2014

meta

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Résumé de l'articleSuivant la classification de Dollerup (2000) de la traduction relais et de la traduction indirecte (« T2 »), la présente étude situe ces deux pratiques comme des tabous de traduction dépréciés ou tolérés selon des variables culturelles diverses, expose leur codification au sein d'organismes de traduction, et lie en partie le fait qu'elles soient considérées comme de mauvaises pratiques à la doctrine de l'intraduisibilité. L'étude établit les causes principales de ces phénomènes, y compris des éléments extralinguistiques. Elle définit certaines souscatégories d'une typologie des traductions dites « de seconde main » ou intermédiaires (par exemple, abrégements, adaptations, modernisations, traductions dont les originaux sont perdus, pseudo-traductions, auto-traductions, triangulations et transcréations). Elle envisage un relais « traductif » et « terminal » et des possibilités de retraduction directe et indirecte, la traduction interlinéaire, le plagiat par traduction et la traduction par assistance. Elle se penche sur le cas particulier des textes sacrés. Enfin, elle évalue de nouvelles orientations et des voies futures pour la recherche. Les éléments essentiels de l'intermédiation orale (le rôle des informateurs et de la traduction collaborative) et l'« intuition » des langues sources en dehors d'une connaissance fonctionnelle sont également pris en considération. L'article se veut une étude descriptive dans un domaine de recherche qui a entretenu un rejet viscéral de tout ce qui n'est pas traduction directe du texte source au texte cible sans que de telles études puissent faire la lumière sur les conditions socio-historiques de la production entourant la traduction intermédiaire. (2000) de la traduction relais et de la traduction indirecte (« T2 »), la présente étude situe ces deux pratiques comme des tabous de traduction dépréciés ou tolérés selon des variables culturelles diverses, expose leur codification au sein d'organismes de traduction, et lie en partie le fait qu'elles soient considérées comme de mauvaises pratiques à la doctrine de l'intraduisibilité. L'étude établit les causes principales de ces phénomènes, y compris des éléments extralinguistiques. Elle définit certaines sous-catégories d'une typologie des traductions dites « de seconde main » ou intermédiaires (par exemple, abrégements, adaptations, modernisations, traductions dont les originaux sont perdus, pseudo-traductions, auto-traductions, triangulations et transcréations). Elle envisage un relais « traductif » et « terminal » et des possibilités de retraduction directe et indirecte, la traduction interlinéaire, le plagiat par traduction et la traduction par assistance. Elle se penche sur le cas particulier des textes sacrés. Enfin, elle évalue de nouvelles orientations et des voies futures pour la recherche. Les éléments essentiels de l'intermédiation orale (le rôle des informateurs et de la traduction collaborative) et l'« intuition » des langues sources en dehors d'une connaissance fonctionnelle sont également pris en co...

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“…Teamwork might seem the ideal way to capture a nation' s or linguistic area' s translation history in all its depth and width, but there are also some very extensive histories along the lines of geographical or linguistic areas that have been produced almost single-handedly; for example the Hispanic translation history by Anthony Pym (2000).…”

Section: Compilations and Regional Historiesmentioning

confidence: 99%

Translation history: audiences, collaboration and interdisciplinarity

Paloposki¹

2013

MonTI

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Translation history constitutes a huge field of research where methods, theories, research questions and topics vary widely. One important question here is who we write history to (who is our addressee) and what kind of an impact the perceived audience has on the ways of writing history. In the case of academic audiences, an audience often is also a partner in research collaboration. However, there are other audiences outside the academia as well. In this article, I will illustrate the issue of audiences and interdisciplinarity through describing the work done in translation historiography in Finland. There have been scholars and writers from different academic disciplines and orientations and from outside the academia, involved in Finnish historiography. Among the products of this collaboration is the history of translated literature, published as a book in 2007. ResumenLa historia de la traducción abarca un amplio campo en el que los métodos, teorías, interrogantes y asuntos varían de forma notable. Una de las preguntas fundamentales consiste en establecer para quién escribimos la historia (cuál es el destinatario) y qué tipo de impacto tiene la audiencia supuesta en el modo de escribirla. En el caso de las audiencias de carácter académico, el destinatario es con frecuencia también un copartícipe del esfuerzo investigador. Sin embargo, existen también otras audiencias más allá de la academia. En este artículo, ilustraré la cuestión de las audiencias y la interdisciplinariedad mediante una descripción de la labor llevada a cabo en Finlandia en torno a la historiografía de la traducción. En ella, han colaborado estudiosos y autores procedentes de diversas disciplinas académicas y orientaciones ajenas al mundo académico, todos ellos interesados en la historiografía de Finlandia.

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Method in Translation History

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Kieran O’Driscoll. Retranslation through the Centuries: Jules Verne in English. Berne, Suisse, Peter Lang, 2011, 286 p.

Kieran O’Driscoll. Retranslation through the Centuries: Jules Verne in English. Berne, Suisse, Peter Lang, 2011, 286 p.

Nonlinear Narratives: Paths of Indirect and Relay Translation

Translation history: audiences, collaboration and interdisciplinarity

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