2015
DOI: 10.3917/rhu.043.0013
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Mesurer et localiser le travail des artisans paveurs dans la ville : les dépenses de pavage du Domaine à Paris au XV e siècle

Abstract: Les dépenses de pavage du Domaine de la ville de Paris au XV e siècle montrent que les axes qui mènent aux portes de l’enceinte de Charles V concentrent les investissements, même si d’autres rues, aux dimensions plus modestes, ont toutefois de plus en plus tendance à faire l’objet de réfections de pavage à partir de la seconde moitié du siècle. Par ailleurs, au même moment, chacune des opérations de la chaîne du pavage des rues (livraison des pavés, transports des matières premières, pavage) fait l’objet d’une… Show more

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“…La spatialisation de ces dépenses de pavage nous permet de connaître la fréquence et l'importance des travaux de réfections dans les rues appartenant à la Croisée de Paris (Hermenault 2015). La figure 8 représente cette information.…”
Section: Appréhender L'ampleur Des Circulations Dans Les Rues Aux Pér...unclassified
“…La spatialisation de ces dépenses de pavage nous permet de connaître la fréquence et l'importance des travaux de réfections dans les rues appartenant à la Croisée de Paris (Hermenault 2015). La figure 8 représente cette information.…”
Section: Appréhender L'ampleur Des Circulations Dans Les Rues Aux Pér...unclassified
“…Ce pont dormant, qui dépassait vraisemblablement les 10 m de longueur, était d'une constitution mixte, puisque son tablier fait de bois, reposait sur les corbeaux de piles maçonnées. Ce tablier était doté au début du XVI e siècle d'un revêtement pavé28 , modalité constructive qui avait également cours à Paris29 .Le pont dormant dut également être pourvu à son extrémité d'un pont-levis. Généralisée dès le dernier quart du XIV e siècle, cette spécificité, liée aux ouvrages de franchissement de structures défensives, demeure commune jusqu'au milieu du XVIII e siècle, car elle permettait de clore rapidement les accès à la ville en relevant la partie amovible, qui, ici, laissait un vide d'environ 3 m entre l'extrémité du pont et l'aplomb de l'escarpe.…”
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