“…En l'absence de signe clinique et radiologique de présence tumorale, une prise en charge pluridisciplinaire comprenant une kinésithérapie de rééducation, des règles hygiénodiététiques et un sevrage éthylotabagique peut permettre de limiter les douleurs post-thérapeutiques. Les paliers du traitement antalgique ainsi que la forme galénique doivent être adaptés [35]. Les douleurs neuropathiques post-radiothérapie ou post-chimiothérapie sont également fréquentes et le questionnaire DN4 (score douleur neuropathique sur quatre questions) peut être utile pour les dépister [36].…”