“…En effet, s'opposant à la volonté de leurs propres souverains qui étaient restés fidèles à Napoléon, les plaines de Leipzig n'avaient-elles pas vu les Saxons et les Wurtembergeois rejoindre les rangs des Prussiens ou des Bavarois pour lutter ensemble contre l'envahisseur français ? Des nationalistes allemands comme Ludwig Jahn ou Ernst Moritz Arndt s'emparent de l'événement afin de galvaniser les Allemands et de réclamer leur réunion au sein d'un même État8 . 's Elsass, n o 217 « Le « Corse : et dire que sans moi, ils ne sauraient même pas qu'ils sont des Allemands…/ Der Corse : ohne mich, wüssten sie nicht einmal, dass sie Deutsche sind… », in Dur's Elsass, n o 217, 30 août 1913.Coll.…”