Management of Epilepsy in the Elderly Person

Epilepsy and neurodegenerative diseases in adults: a clinical review

“…The treatment of choice allows adequate control of critical manifestations, with limited toxicity and drug interaction, as well as acceptable neuropsychic tolerance. In reference to older populations, many review articles have discussed the choice of treatment (Thomas, 1997, Anonymous, 2003, Rowan, 2000, Sirven, 2001, Masnou, 2001, Peinemann and Stefan, 1998, Van Cott, 2002, Stephen and Brodie, 2000, Tallis et al, 2002. These articles recommend monotherapy and underline the benefits of large-spectrum antiepileptic drugs such as valproate and lamotrigine, or medications with limited cognitive effects, such as phenytoine and gabapentine.…”

Epilepsie et maladies neurodégénératives de l'adulte

“…L'âge constitue un facteur de risque indépendant à la fois pour la pathologie neurodégénérative [2,3], et pour l'épilepsie [4][5][6][7][8]. Environ 1 % des sujets âgés de plus de 65 ans présentent une épilepsie, ce qui signifie, avec l'augmentation en taille de cette population, qu'environ un quart des épilepsies nouvellement diagnostiquées appartient à cette tranche d'âge [7][8][9][10][11][12][13][14][15]. Au sein de cette population, l'étiologie cérébrovasculaire est largement dominante, mais la pathologie tumorale, traumatique et neurodégénérative tiennent des rôles à peu près équivalents numériquement, évalués chacun autour de 10 % [7][8][9][10][11][12][13][14][15].…”

“…Environ 1 % des sujets âgés de plus de 65 ans présentent une épilepsie, ce qui signifie, avec l'augmentation en taille de cette population, qu'environ un quart des épilepsies nouvellement diagnostiquées appartient à cette tranche d'âge [7][8][9][10][11][12][13][14][15]. Au sein de cette population, l'étiologie cérébrovasculaire est largement dominante, mais la pathologie tumorale, traumatique et neurodégénérative tiennent des rôles à peu près équivalents numériquement, évalués chacun autour de 10 % [7][8][9][10][11][12][13][14][15]. Il est toutefois important de signaler que, contrairement à la mise en évidence immédiate d'une étiologie acquise à une épilepsie débutante (accident vasculaire cérébral, néoplasie intracrânienne ou une séquelle post-traumatique), il n'existe pas de marqueur anatomique fiable du processus dégénératif.…”

“…Dans la maladie de Wilson, l'épilepsie est fréquente, relevée chez 6 % des sujets d'une grande série [114]. [6][7][8][9][10][11][12][13][14]. Dans ces travaux, les recommandations portent logiquement sur l'utilisation d'une monothérapie, en soulignant l'intérêt des traitements antiépileptiques à large spectre, comme le valproate, la lamotrigine, ou des traitements aux effets cognitifs limités, comme la phénytoine, la gabapentine.…”

“…Le traitement de choix permettra un contrôle satisfaisant des manifestations critiques, avec une toxicité d'organe et des interactions médicamenteuses limitées, ainsi qu'une tolérance neuropsychique correcte. Dans la population âgée, de nombreux articles de revue ont discuté de ce choix [6‐14]. Dans ces travaux, les recommandations portent logiquement sur l'utilisation d'une monothérapie, en soulignant l'intérêt des traitements antiépileptiques à large spectre, comme le valproate, la lamotrigine, ou des traitements aux effets cognitifs limités, comme la phénytoine, la gabapentine.…”