Magnetic Resonance Spectroscopy and Neurocognitive Dysfunction in Obstructive Sleep Apnea before and after CPAP Treatment

Abstract

OSA patients have brain metabolite changes detected by MRS, suggestive of decreased frontal lobe neuronal viability and integrity, and decreased hippocampal membrane turnover. These regions have previously been shown to have no gross structural lesions using VBM. Little change was seen with treatment with CPAP for 6 months. No correlation of metabolite concentrations was seen with results on neurocognitive tests, but there were significant negative correlations with OSA severity as measured by severity of nocturnal hypoxemia.

A feasibility evaluation of oral pressure therapy for the treatment of obstructive sleep apnea

“…Commensurate with improvement in AHI, measures of sleep continuity, consolidation, and depth were improved in a manner consistent with improvements observed in controlled CPAP trials [Chakravorty et al 2002;Kaneko et al 2003;Barnes et al 2004;Brillante et al 2012;O'Donoghue et al 2012]. OPT was associated with significant increases in N2, N3, and REM sleep, and significant reductions in stage shifts, awakenings, and REM latency.…”

Sleep Abnormalities in Chronic Fatigue Syndrome/Myalgic Encephalomyelitis: A Review

“…These techniques have also applied to clinical populations, including primary insomnia, 90 OSA, 91,92 and depression. 93 Particularly in primary insomnia, functional neuroimaging studies during sleep have helped understand the neurophysiological underpinnings of sleep dysregulation in these patients.…”

Syndrome d’apnées obstructives du sommeil et cognition : une revue

“…Cette amélioration était corrélée à une augmentation du volume de la substance grise dans les régions hippocampiques et frontales. O'Donoghue et al [77] ont rapporté, en utilisant la SRM chez des patients SAOS sévères non traités, des modifications des concentrations des métabolites cérébraux en particulier dans l'hippocampe (diminution du rapport Cho/Cr) et le lobe frontal (diminution du rapport NAA/Cho), ainsi que de faibles performances cognitives et des troubles de l'humeur. Six mois de traitement par PPC ont été suivis d'une amélioration des troubles de l'humeur, mais pas des troubles cognitifs.…”

“…En revanche, le traitement n'a pas corrigé les anomalies biochimiques observées au niveau du lobe frontal. La persistance de ces anomalies de la substance blanche et des déficits cognitifs après traitement chez des patients avec un SAOS sévère mais très compliants est en faveur de l'hypothèse de l'existence de dommages structuraux et fonctionnels irréversibles [77]. Cependant, plus récemment, Castronovo et al [18], en utilisant l'IRM en tenseur de diffusion chez des patients SAOS sévères non traités, ont montré qu'un traitement plus long, 12 mois contre 6 mois dans l'étude de O'Donogue et al, a permis une inversion quasi complète des anomalies de la substance blanche, avec en parallèle une restauration des déficits cognitifs chez les patients compliants.…”

“…Trois mois de traitement n'a, par contre, produit que des effets très limités, alors que, dans une autre étude de la même équipe [16], trois mois de traitement avait permis de corriger les anomalies structurales de la matière grise. Selon les auteurs [18], l'ensemble de leurs résultats suggèrent que la matière blanche pourrait répondre plus lentement que la matière grise au traitement, ce qui permettrait d'expliquer aussi l'apparente disparité des résultats entre leur étude et celle d'O'Donoghue et al [77]. Enfin, l'hippocampe est probablement la région la plus fortement et rapidement affectée par le SAOS en raison de sa grande sensibilité à l'hypoxie et présence de nombreux petits vaisseaux.…”