Long term support: The critical element to sustaining competitive employment: Where do we begin?

Frey, Jana

doi:10.1037/h0095569

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“…www.erudit.org Tous droits réservés © Santé mentale au Québec, 1996 Santé mentale au Québec, 1996, XXI, 2, 73- L 'intégration socioprofessionnelle constitue un objectif important des programmes de réadaptation offerts aux personnes présentant des troubles mentaux. Outre les bénéfices économiques qui peuvent en dé-couler, l'exercice d'un travail peut avoir des retombées positives au plan psychologique et social (Connors et al, 1987;Frey, 1994;Frey et Godfrey, 1991 ;Phillips et Biller, 1993 ;Vincelette, 1995). Le travail serait, en outre, moins défavorable pour la santé mentale des personnes présentant des troubles que l'absence de travail (Vogel et al, 1989 ;Vostanis, 1990 Santé mentale au Québec L'intégration (ou la réintégration) socioprofessionnelle s'avère toutefois difficile pour ces personnes.…”

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“…Le travail serait, en outre, moins défavorable pour la santé mentale des personnes présentant des troubles que l'absence de travail (Vogel et al, 1989 ;Vostanis, 1990 Santé mentale au Québec L'intégration (ou la réintégration) socioprofessionnelle s'avère toutefois difficile pour ces personnes. C'est particulièrement vrai pour celles dont les troubles sont sévères et persistants puisque les symptômes particuliers qu'elles présentent peuvent constituer des obstacles à l'emploi (Frey, 1994;McGurrin, 1994;Rutman, 1994). Ces symptômes peuvent se traduire par une variété de problèmes ou de déficits (problèmes perceptifs, d'attention ou de mémoire, pertes de contrôle, distorsions de la réalité et autres) affectant le fonctionnement général et la capacité de travail (CoIe et McGrary, 1991 ;McGurrin, 1994).…”

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“…Outre les bénéfices économiques qui peuvent en dé-couler, l'exercice d'un travail peut avoir des retombées positives au plan psychologique et social (Connors et al, 1987;Frey, 1994;Frey et Godfrey, 1991 ;Phillips et Biller, 1993 ;Vincelette, 1995). Le travail serait, en outre, moins défavorable pour la santé mentale des personnes présentant des troubles que l'absence de travail (Vogel et al, 1989 ;Vostanis, 1990).…”

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L’intégration socioprofessionnelle des usagers d’un service d’apprentissage d’habitudes de travail

Déry¹,

Mercier²,

Toupin³

et al. 2007

smq

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Cet article est diffusé et préservé par Érudit.Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du Québec à Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. www.erudit.org Tous droits réservés © Santé mentale au Québec, 1996 Santé mentale au Québec, 1996, XXI, 2, 73- L 'intégration socioprofessionnelle constitue un objectif important des programmes de réadaptation offerts aux personnes présentant des troubles mentaux. Outre les bénéfices économiques qui peuvent en dé-couler, l'exercice d'un travail peut avoir des retombées positives au plan psychologique et social (Connors et al., 1987;Frey, 1994;Frey et Godfrey, 1991 ;Phillips et Biller, 1993 ;Vincelette, 1995). Le travail serait, en outre, moins défavorable pour la santé mentale des personnes présentant des troubles que l'absence de travail (Vogel et al, 1989 ;Vostanis, 1990 Santé mentale au Québec L'intégration (ou la réintégration) socioprofessionnelle s'avère toutefois difficile pour ces personnes. C'est particulièrement vrai pour celles dont les troubles sont sévères et persistants puisque les symptômes particuliers qu'elles présentent peuvent constituer des obstacles à l'emploi (Frey, 1994;McGurrin, 1994;Rutman, 1994). Ces symptômes peuvent se traduire par une variété de problèmes ou de déficits (problèmes perceptifs, d'attention ou de mémoire, pertes de contrôle, distorsions de la réalité et autres) affectant le fonctionnement général et la capacité de travail (CoIe et McGrary, 1991 ;McGurrin, 1994). S'ils sont particulièrement invalidants lors des phases aiguës de la maladie, les symptômes ne compromettent pas, toutefois, l'adaptation au travail dans les phases de rémission. Mais cet aspect cyclique de la maladie entraîne souvent d'autres problèmes qui réduisent les chances de s'inté-grer avec succès au marché du travail : perte de motivation, difficulté d'établir et de maintenir des relations sociales, faible estime de soi, peu d'expériences de travail (McGurrin, 1994). Ces difficultés liées à l'inté-gration socioprofessionnelle se reflètent dans les faibles taux d'emploi post-hospitalisation, variant selon différentes études de suivi de 10 à 30 % (Anthony et al., 1978). Ces taux seraient particulièrement faibles pour les personnes présentant des troubles sévères (Vincelette, 1995).Les services spécialisés mis en place pour aider ces personnes connaissent des succès mitigés. Le but de cette étude est d'identifier, chez des personnes inscrites à un service de réadaptation socioprofessionnelle, des variables associées au succès ou à l'échec de leur intégra-tion. L'efficacité des services offertsUne variété de services et de programmes de réadaptation socioprofessionnelle ont été conçus pour assister les personnes présentant des troubles mentaux dans leur démarche d'intégration au marché du travail. Ces services peuvent mettre l'accent sur la formation et la prépara-tion à l'emploi, sur les habiletés de recherche d'emploi, ou sur le placeme...

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L’intégration socioprofessionnelle des usagers d’un service d’apprentissage d’habitudes de travail

Déry¹,

Mercier²,

Toupin³

et al. 2007

smq

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“…Research suggests that mobile teams composed of clinicians, social workers, and supported employment specialists might be especially beneficial for people in need of intensive, integrated clinical care (3,20,21). For those less in need of intensive care, membership in a clubhouse should improve work tenure, given that clubhouses develop relationships with local employers that facilitate on-the-job support (22)(23)(24)(25).This randomized controlled trial compared the employment outcomes for two widely disseminated (yet very different) multiservice programs designed to provide supported employment: vocationally integrated assertive community treatment (ACT), which originated at Mendota Mental Health Institute in Madison, Wisconsin (26,27), and a certified clubhouse modeled on Fountain House, Inc., in New York (28,29). Both provide supported employment services with a focus on rapid placement.…”

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confidence: 99%

“…This randomized controlled trial compared the employment outcomes for two widely disseminated (yet very different) multiservice programs designed to provide supported employment: vocationally integrated assertive community treatment (ACT), which originated at Mendota Mental Health Institute in Madison, Wisconsin (26,27), and a certified clubhouse modeled on Fountain House, Inc., in New York (28,29). Both provide supported employment services with a focus on rapid placement.…”

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Supported Employment Outcomes of a Randomized Controlled Trial of ACT and Clubhouse Models

Macias¹,

Rodican²,

Hargreaves³

et al. 2006

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Objective-In a randomized controlled trial, a vocationally integrated program of assertive community treatment (ACT) was compared with a certified clubhouse in the delivery of supported employment services.Methods-Employment rates, total work hours, and earnings for 121 adults with serious mental illness interested in work were compared with published benchmark figures for exemplary supported employment programs. The two programs were then compared on service engagement, retention, and employment outcomes in regression analyses that controlled for background characteristics, program preference, and vocational service receipt.Results-Outcomes for 63 ACT and 58 clubhouse participants met or exceeded most published outcomes for specialized supported employment teams. Compared with the clubhouse program, the ACT program had significantly (p<.05) better service engagement (ACT, 98 percent; clubhouse, 74 percent) and retention (ACT, 79 percent; clubhouse, 58 percent) over 24 months, but there was no significant difference in employment rates (ACT, 64 percent; clubhouse, 47 percent). Compared with ACT participants, clubhouse participants worked significantly longer (median of 199 days versus 98 days) for more total hours (median of 494 hours versus 234 hours) and earned more (median of $3,456 versus $1,252 total earnings). Better work performance by clubhouse participants was partially attributable to higher pay.Conclusions-Vocationally integrated ACT and certified clubhouses can achieve employment outcomes similar to those of exemplary supported employment teams. Certified clubhouses can effectively provide supported employment along with other rehabilitative services, and the ACT program can ensure continuous integration of supported employment with clinical care.Supported employment is designed to help adults with serious mental illness obtain jobs in socially integrated settings that pay at least minimum wage (1-3). Randomized controlled trials have established supported employment as an evidence-based practice on the basis of higher employment rates for specialized supported employment teams compared with interventions NIH Public Access NIH-PA Author ManuscriptNIH-PA Author Manuscript NIH-PA Author Manuscript that do not provide supported employment (4-9). The effectiveness of supported employment has been partially attributed to rapid job placement, which bypasses prevocational training, trial jobs, and sheltered work (9-12).However, being hired does not guarantee success on the job. Enrollees express interest in employment when entering a supported employment program, yet typically average only a few months of employment after finding a job (1,8,11,(13)(14)(15)(16). One explanation for brief work tenure is the failure of many supported employment specialists to work closely with treating clinicians (17). Encouraging integration of supported employment with case management and other rehabilitation services, such as supported housing or supported education, also seems beneficial (18,19). Research suggests...

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Program evaluation and research at thresholds

Cook

1995

New Directions for Mental Health Services

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Long term support: The critical element to sustaining competitive employment: Where do we begin?

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L’intégration socioprofessionnelle des usagers d’un service d’apprentissage d’habitudes de travail

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