“…Si nombre de troubles psychiatriques peuvent présenter certains critères de DFTc, l'intensité de la symptomatologie diffère ; par une approche semi-quantitative des échelles comme DAPHNE permettent de distinguer les DLFT de la maladie bipolaire [16]. L'examen neurologique permet occasionnellement de mettre en évidence certains signes cliniques (syndrome parkinsonien non expliqués par les neuroleptiques, syndrome pyramidal, amyotrophie ou fasciculations) qui contribueront fortement au diagnostic différentiel [23].…”