Les différents types de gamétocytes chez les Hémosporidies de Mammifères. Corrélations avec la morphologie des schizontes tissulaires. Hypothèses sur l’évolution du groupe

Landau, I.; Miltgen, F; Chabaud, A. G.

doi:10.1051/parasite/1976512175

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“…;1976et 1978 dans une cellule hôte hypertrophiée et entourée d'une épaisse capsule ; noyaux des schizontes âgés ayant une chromatine granuleuse. Il se différencie des autres espèces essentiellement par les caractères des schi zontes :…”

Section: Taxonomieunclassified

Sur le genre Polycbromophilus

Landau¹,

Rosin

Miltgen³

et al. 1980

Ann. Parasitol. Hum. Comp.

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Section: Taxonomieunclassified

Sur le genre Polycbromophilus

Landau¹,

Rosin

Miltgen³

et al. 1980

Ann. Parasitol. Hum. Comp.

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“…Ces données morphologiques nous paraissent constituer un outil de travail très utilisable pour aborder plusieurs problèmes intéressants du point de vue théorique et pratique. En effet, P. yoelii appartient au groupe « vivax » (Landau, Miltgen et Chabaud, 1976). Un examen d'autres espèces de ce groupe (P. vinckei, P. chabaudi, P. cynomolgi, P. vivax) indique que les différentes caractéristiques morphologiques des gamétocytes de P. yoelii se retrouvent chez tous.…”

Section: -Résumé -Conclusionunclassified

Etudes sur les gamétocytes des Plasmodium du groupe « vivax » : morphologie, évolution prise par les Anophèles et infectivité des microgamétocytes de Plasmodium yoelii

Landau¹,

Miltgen²,

Boulard³

et al. 1979

Ann. Parasitol. Hum. Comp.

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L'analyse morphologique des gamétocytes de Plasmodium yoelii a permis de différencier quatre types morphologiques (O, I, II et III) qui se succèdent chronologiquement et, à l'inté rieur de chaque type, des gamétocytes sains et des gamétocytes altérés. Ces données morpho logiques représentent un instrument de travail pour aborder une étude plus approfondie de la biologie des gamétocytes du groupe « vivax ». Des expériences préliminaires ont fourni des renseignements sur l'évolution des gaméto cytes et sur les mécanismes de leur infectivité. 1-Au cours des infections expérimentales de la Souris blanche les gamétocytes de P.y. nigeriensis sont infectants jusqu'aux 3e, 4e jours, ceux de P. y. yoelii jusqu'aux 5e, 6e jours. Ces délais peuvent être raccourcis dans les infections très virulentes ou prolongés dans les infections chroniques. 2-La diminution de l'infectivité coïncide avec l'apparition en nombre de plus en plus élevé de gamétocytes de morphologie altérée. 3-La perte d'infectivité est liée à l'état du sang qui, lorsque la parasitémie est élevée, devient rapidement impropre à une évolution normale des gamétocytes : ainsi des gamétocytes non infectants acquièrent une forte infectivité moins de 2 heures après leur transfert à une Souris neuve. (1) Travail effectué grâce à une subvention de l'Organisation Mondiale de la Santé. Accepté le 12 décembre 1978.

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“…Similar to the haemosporidian genera Hepatocystis and Polychromophilus, Nycteria parasite blood infections are limited to gametocytes. Male gametocytes are round and closely resemble Plasmodium malariae parasites (Landau et al, 1976). They rarely occupy the host erythrocyte completely, display a distinct limit between nucleus and cytoplasm, frequently exhibit an accessory chromatin dot and few, coarse pigment granules (Landau et al, 2012).…”

Section: Introductionmentioning

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Nycteria parasites of Afrotropical insectivorous bats

Schaer

Reeder

Vodzak

et al. 2015

International Journal for Parasitology

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Parasitic protozoan parasites have evolved many co-evolutionary paths towards stable transmission to their host population. Plasmodium spp., the causative agents of malaria, and related haemosporidian parasites are dipteran-borne eukaryotic pathogens that actively invade and use vertebrate erythrocytes for gametogenesis and asexual development, often resulting in substantial morbidity and mortality of the infected hosts. Here, we present results of a survey of insectivorous bats from tropical Africa, including new isolates of species of the haemosporidian genus Nycteria. A hallmark of these parasites is their capacity to infect bat species of distinct families of the two evolutionary distant chiropteran suborders. We did detect Nycteria parasites in both rhinolophid and nycterid bat hosts in geographically separate areas of Sub-Saharan Africa, however our molecular phylogenetic analyses support the separation of the parasites into two distinct clades corresponding to their host genera, suggestive of ancient co-divergence and low levels of host switching. For one clade of these parasites, cytochrome b genes could not be amplified and cytochrome oxidase I sequences showed unusually high rates of evolution, suggesting that the mitochondrial genome of these parasites may have either been lost or substantially altered. This haemosporidian parasite-mammalian host system also highlights that sequential population expansion in the liver and gametocyte formation is a successful alternative to intermediate erythrocytic replication cycles.

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Les différents types de gamétocytes chez les Hémosporidies de Mammifères. Corrélations avec la morphologie des schizontes tissulaires. Hypothèses sur l’évolution du groupe

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Sur le genre Polycbromophilus

Sur le genre Polycbromophilus

Etudes sur les gamétocytes des Plasmodium du groupe « vivax » : morphologie, évolution prise par les Anophèles et infectivité des microgamétocytes de Plasmodium yoelii

Nycteria parasites of Afrotropical insectivorous bats

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