2009
DOI: 10.3917/rs.057.0132
|View full text |Cite
|
Sign up to set email alerts
|

Les « décotants » du régime général en 2005 : qui sont-ils ?

Help me understand this report

Search citation statements

Order By: Relevance

Paper Sections

Select...

Citation Types

0
0
0
2

Year Published

2010
2010
2011
2011

Publication Types

Select...
2

Relationship

1
1

Authors

Journals

citations
Cited by 2 publications
(2 citation statements)
references
References 1 publication
0
0
0
2
Order By: Relevance
“…Le cotisant qui voudrait partir à la retraite sans pour autant disposer de la durée d'assurance requise subit une double pénalité financière : d'un côté, son taux de liquidation est amputé d'une décote en raison du nombre de trimestres qui lui font défaut, de l'autre côté, son coefficient de proratisation est diminué en conséquence. La dernière année manquante conduisait avant 2003, du seul jeu de la décote, à une baisse de la pension de 10 % sans commune mesure avec le gain actuariel apporté par le versement de la pension une année de plus (Benallah et Legendre [2009]). De l'autre côté, avant la réforme de 2003, le cotisant qui voulait poursuivre son activité au-delà de l'âge auquel il obtenait le « taux plein » n'y était absolument pas encouragé financièrement : il sur-cotisait, en quelque sorte, à l'assurance-vieillesse en payant des cotisations qui n'accroissaient pas ses droits à pension.…”
unclassified
See 1 more Smart Citation
“…Le cotisant qui voudrait partir à la retraite sans pour autant disposer de la durée d'assurance requise subit une double pénalité financière : d'un côté, son taux de liquidation est amputé d'une décote en raison du nombre de trimestres qui lui font défaut, de l'autre côté, son coefficient de proratisation est diminué en conséquence. La dernière année manquante conduisait avant 2003, du seul jeu de la décote, à une baisse de la pension de 10 % sans commune mesure avec le gain actuariel apporté par le versement de la pension une année de plus (Benallah et Legendre [2009]). De l'autre côté, avant la réforme de 2003, le cotisant qui voulait poursuivre son activité au-delà de l'âge auquel il obtenait le « taux plein » n'y était absolument pas encouragé financièrement : il sur-cotisait, en quelque sorte, à l'assurance-vieillesse en payant des cotisations qui n'accroissaient pas ses droits à pension.…”
unclassified
“…Nous utilisons un modèle qui a été développé en 2008 (Benallah et Legendre [2009]) et qui a permis d'appréhender pour les hommes, les effets de l'allongement prévu par la réforme de 2003, de 40 à 41 ans de la durée d'assurance . Nous avions Revue française d'économie, n° 1/vol XXVI notamment pu montrer que cet allongement n'aurait que de faibles conséquences à moyen terme sur l'âge moyen de départ, les personnes qui devaient partir au cours des 10 prochaines années n'étant que marginalement affectées par cette mesure.…”
unclassified