“…Parmi ces introducteurs à portée véridictionnelle, certaines subdivisions sont possibles. On peut en particulier, à la suite de H. NØlke (1990bNØlke ( , 1994, C.Molinié (1990), P. Le Goffic (1993) distinguer, en s'appuyant sur divers tests, les expressions qui portent plutôt sur l'énoncé (le plus souvent, etc. ), celles qui portent sur l'énonciation et mettent l'accent sur sa dimension illocutoire (sans rire, franchement, etc.…”