Le retour de la proximité ! Quelles implications pour les services urbains en réseau ?

Bahers, Jean‐Baptiste; Durand, Mathieu

doi:10.3917/flux1.109.0001

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“…A feature of smaller projects worth considering is that they all engage in different forms of proximity (Bahers & Durand 2017), consistent with their size, that contributes to the meshed network observed in Figure 5b, i.e. a more integrated development strategy.…”

Section: Results For Quebec Provincementioning

confidence: 80%

Characterising the development trends driving sustainable neighborhoods

Tanguy¹,

Breton²,

Blanchet³

et al. 2020

Buildings and Cities

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Most self-proclaimed sustainable neighborhoods cover various concepts pertaining to the economic, social, environmental, and institutional pillars of sustainability. Depending on the developers' motivations, these concepts can be integrated unevenly. This study develops a framework to characterise the gap between what is advocated as necessary for sustainable neighborhoods and what is marketed as sustainable neighborhoods. A framework based on a sustainable neighborhood typology is developed using the Canadian province of Quebec as a case study. This is based on the main concepts underlying the four pillars of sustainability, but from a practical perspective. An analysis of sustainable initiatives (n = 29) shows a clear prioritisation of urban morphology on individual livability at the expense of participatory governance and sustainability awareness, especially for large projects promoted by private developers. A co-occurrence analysis suggests that smaller projects manage to integrate more sustainability aspects. The framework can be used to identify similarities and differences between development types for developing practical policy measures. This research highlights the importance involving public and private stakeholders at the early planning stage, in order to design more integrated projects. Policy relevance A gap is revealed between what is defined as urban sustainability and what is actually delivered by developers. Citizen participation is generally beneficial, but often lacking. There is scope for policymakers to provide compelling encouragement to build citizen involvement into the planning processes, particularly for larger neighborhood developments. From the example of the province of Quebec, this can take several forms. In some cases, more incentives from the public sector to involve citizens at the early stage of planning is favorable. This can allow stakeholders to outline the development strategy in neighborhoods. In other cases, municipalities can involve residents through a charter or regular local meetings. This requires more systemic municipal approaches to urban sustainability. Evidence suggests that local relocation of food and/or energy production can lead to successful cases of citizen participation and social solidarity.

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Section: Results For Quebec Provincementioning

confidence: 80%

Characterising the development trends driving sustainable neighborhoods

Tanguy¹,

Breton²,

Blanchet³

et al. 2020

Buildings and Cities

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“…One is the post-network (Coutard and Rutherford, 2011) of an ongoing transition from the traditional model of the large centralized network to logics built around the local dimension, while another is the notion of energy territories implemented on the scale of the city, the neighbourhood or the building (Souami, 2009). The notion of socio-energy assemblage has been used to analyse energy and urban governance in search of renewable or fatal energy (Aubert, 2020;Debizet et al, 2016;Hampikian, 2017), emphasizing the role of energy intermediaries (Tabourdeau and Debizet, 2017) in the wake of the French school of proximity (Bahers and Durand, 2017). The notion of energy autonomy points to spaces for the construction of new relationships to resources and new forms of organization (Lopez, Pellegrino and Coutard, 2019).…”

Section: Community: An Organizational Dimension Intertwined With the ...mentioning

confidence: 99%

Social sciences introduction. Local energy communities

Debizet¹,

Pappalardo²

2022

Local Energy Communities

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“…Le rapport entre le réseau et ses modèles organisationnels alternatifs a fait également émerger plusieurs notions dans le champ de la géographie et de l'urbanisme à commencer par celle de post-réseau (Coutard, Rutherford, 2009, 2011 d'une transition en cours, du modèle traditionnel du grand réseau centralisé, vers des Debizet & Pappalardo logiques construites autour de la dimension locale et celle de territoires énergétiques mis en oeuvre à l'échelle de la ville, du quartier, du bâtiment (Souami, 2009) dont les systèmes énergétiques sont constitués d'un ensemble de noeuds socio-énergétiques (Debizet, 2013). La notion d'assemblage socio-énergétique a ainsi été mobilisée pour analyser des gouvernances énergétiques et urbaines en quête d'énergies renouvelables ou fatales (Debizet et al, 2016 ;Hampikian, 2017 ;Aubert, 2020), soulignant le rôle d'intermédiaires énergétiques (Tabourdeau, Debizet, 2017) dans le sillage de l'école française de la proximité (Bahers, Durand, 2017). La notion d'autonomie énergétique pointe des espaces de construction de nouveaux rapports aux ressources et de nouvelles formes d'organisation (Lopez et al, 2019).…”

Section: Débats Scientifiques En France Et à L'internationalunclassified

Communautés énergétiques locales, coopératives citoyennes et autoconsommation collective : formes et trajectoires en France

Debizet¹,

Pappalardo²

2021

Flux

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Les communautés énergétiques : un objet multiple dans un champ de recherche récentLes recherches récentes, à l'échelle française et internationale, témoignent l'intérêt pour la question des communautés énergétiques, et plus largement pour les modes d'organisation des acteurs autour de la production et de la consommation d'énergies renouvelables à l'échelle locale.Ce numéro spécial de Flux, consacré aux communautés énergétiques locales, a pour ambition de rendre compte de la diversité des recherches récentes sur cet objet polysémique et polymorphe, à l'aide d'une mise en perspective de la littérature internationale sur les communautés énergétiques et de quatre contributions de chercheurs travaillant sur ces questions, à partir de différentes disciplines. Les quatre articles sont issus d'un travail de sélection de propositions formulées par les auteurs à la suite de leur participation au cycle de webinaires « Communautés énergétiques, autoproduction, autoconsommation : cadrages, pratiques et outils », organisé par le CDP Eco-SESA de l'Université Grenoble Alpes et le Puca, de juin à octobre 2020. Comme présenté en détail dans le compte-rendu en fin de ce numéro, les sessions du colloque ont traité des thématiques interdisciplinaires impliquant des chercheurs, mais également des acteurs institutionnels et des professionnels de l'énergie.Depuis le début des années 2010, le modèle des communautés énergétiques a suscité l'engouement des acteurs, notamment en raison de la possibilité de participation des citoyens aux processus de délibération collectifs. Dans ce sens, cet objectif sociétal et politique s'entremêle aux valeurs environnementales, qui visent notamment une baisse des consommations d'énergie et un impact moins important sur la planète, mais surtout s'insèrent dans une tendance de sortie des logiques marchandes traditionnelles. Nombre d'acteurs associent notamment les communautés énergétiques à une idée de proximité spatiale et, implicitement, de relations interpersonnelles entre ses membres. Depuis juillet 2021, le cadre réglementaire français évolue, notamment par l'entrée en vigueur en des ordonnances (publiées en mars 2021) transposant les directives européennes RED II et IEMD 1 , qui définissent les règles applicables aux différents modèles de communautés énergétiques, aux garanties d'origine ainsi qu'à l'encadrement du stockage de l'électricité 2 . Au-delà du cadrage réglementaire, notre définition de communauté énergétique rend compte de cette diversité d'approches et d'analyses : nous entendons par communauté énergétique un regroupement de personnes physiques ou morales activement impliquées dans un projet de production et/ou de consommation d'énergie renouvelable. Ainsi, la communauté est un objet élastique, où les représentations des acteurs ont autant de poids que les caractéristiques objectives des dispositifs : le sentiment de faire partie d'une communauté, la mise en place de formes de gouvernance horizontales, l'imbrication entre installations techniques et espaces, ou encore l'ancrage local, co...

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Le retour de la proximité ! Quelles implications pour les services urbains en réseau ?

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Characterising the development trends driving sustainable neighborhoods

Characterising the development trends driving sustainable neighborhoods

Social sciences introduction. Local energy communities

Communautés énergétiques locales, coopératives citoyennes et autoconsommation collective : formes et trajectoires en France

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