Les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer accueillies en institution vivent des situations de
handicap qui se manifestent par une réduction de la réalisation de leurs habitudes de vie sexuelles.
Un travail sexologique s’impose en fondant les initiatives sur un cadre de référence écosystémique qui
explique le rôle interactif des facteurs individuels et des facteurs environnementaux. Il est proposé
d’oeuvrer à la promotion du bien-être sexuel des résidents en initiant un projet institutionnel, de même
qu’un projet personnel de vie sexuelle.