“…Le ganglioneurome se développe donc le long des chaînes sympathiques, d'où ses localisations cervicale, médiastinale, rétropéritonéale ou pelvienne. La localisation rétropéritonéale est fréquente (32-52%) [ 3 , 6 ], une fois sur deux extrasurrénalienne. Le ganglioneurome ne représente que 0,7 à 1,6% des tumeurs rétropéritonéales primitives [ 2 ] qui, quant à elles, constituent moins de 1% de l'ensemble des tumeurs [ 2 ].…”