2007
DOI: 10.7202/027515ar
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Le délinquant économique est-il d’un âge canonique ?

Abstract: Cet article est consacré à l'âge des fraudeurs et, plus précisément, à l'âge des délinquants dits économiques. Le propos de cet article est de mesurer les différences d'âges qu'il peut y avoir entre ces délinquants et celui d'autres catégories comparables de délinquants. Il est aussi de mettre en exergue les différences d'âges qu'il peut y avoir entre diverses catégories de fraudeurs. L'auteur s'attache en outre à expliquer les différences d'âges en tenant compte, d'une part, des aptitudes et opportunités qui … Show more

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“…Les auteurs le désignent parfois de façon générique, soit comme « criminel » ou « délinquant » (six études, dont Fréchette, 1970 ;Lanctôt, Bernard et Le Blanc, 2002 ;Le Blanc, 1986). On fait parfois référence au crime commis, en spécifiant que l'étude portera sur le « délinquant économique » (Bacher, 2002), « l'agresseur sexuel » (Lussier, 2010 ;Pellerin et al, 1996 ;Pham, Debruyne et Kinappe, 1999), le « proxénète » (Savoie-Gargiso et , le « trafiquant de cocaïne » (Meeson et Morselli, 2012), des individus qui poursuivent des « activités criminelles lucratives » (Charest, 2004 ;Morselli et Tremblay, 2004 ;Robitaille, 2004), des auteurs de « vol à main armée » (Bellot, 1985) ou de « violence conjugale » (Roy et Rondeau, 1997). Le fait d'être reconnu coupable par la justice module parfois la façon dont le criminel est nommé, qu'il s'agisse, par exemple, du « multirécidiviste » (Pinsonneault, 1985), du « sursitaire » (F. Born, 2002 ;Koudou, 2009 ;Lanctôt, Bernard et Le Blanc, 2002 ;Lussier, 2010).…”
Section: La Représentation Du Criminelunclassified
“…Les auteurs le désignent parfois de façon générique, soit comme « criminel » ou « délinquant » (six études, dont Fréchette, 1970 ;Lanctôt, Bernard et Le Blanc, 2002 ;Le Blanc, 1986). On fait parfois référence au crime commis, en spécifiant que l'étude portera sur le « délinquant économique » (Bacher, 2002), « l'agresseur sexuel » (Lussier, 2010 ;Pellerin et al, 1996 ;Pham, Debruyne et Kinappe, 1999), le « proxénète » (Savoie-Gargiso et , le « trafiquant de cocaïne » (Meeson et Morselli, 2012), des individus qui poursuivent des « activités criminelles lucratives » (Charest, 2004 ;Morselli et Tremblay, 2004 ;Robitaille, 2004), des auteurs de « vol à main armée » (Bellot, 1985) ou de « violence conjugale » (Roy et Rondeau, 1997). Le fait d'être reconnu coupable par la justice module parfois la façon dont le criminel est nommé, qu'il s'agisse, par exemple, du « multirécidiviste » (Pinsonneault, 1985), du « sursitaire » (F. Born, 2002 ;Koudou, 2009 ;Lanctôt, Bernard et Le Blanc, 2002 ;Lussier, 2010).…”
Section: La Représentation Du Criminelunclassified