2005
DOI: 10.1051/medsci/2005218-9715
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La ghréline, un exemple saisissant de pléïotropie des peptides neuroendocriniens

Abstract: L'histoire de la ghréline (de la racine sanscrite ghr : croissance) commence vingt-trois ans avant sa décou-verte en tant que ligand naturel du récepteur des sécrétagogues de l'hormone de croissance (GH) à partir d'extraits d'estomac de rat, fin 1999 [1]. En effet, c'est en 1976 que Cyril Bowers, en recherchant des agonistes opiacés, observe qu'un dérivé de la met-enképhaline, le Tyr-DTrp-Gly-Gly-Phe-MetNH 2 , stimule la sécrétion de GH in vitro, alors qu'il ne présente plus d'activité opiacée [2] (Figure 1). … Show more

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