“…Cette donnée corrobore les résultats obtenus par des Rivières-Pigeon et ses collaboratrices (2015) qui rapportent que cette situation crée de graves problèmes de conciliation famille-travail. Cette absence d'un des membres de l'équipe d'intervention à ces rencontres va à l'encontre des conditions proposées par Lovaas et par le CRDITED dans son programme d'intervention, ainsi que celles documentées dans les écrits (Chrétien et al, 2003;Dionne et al, 2014;Eikeseth, 2011;Eldevik et al, 2010;Levy et al, 2006;Matson et Konst, 2014;McClannahan et Krantz, 2000;McGahan, 2001;Perry et al, 2008;Sabourin et al, 2011). De plus, cette situation amène que les individus se parlent principalement en dyade (parentéducatrice, parent-intervenante, éducatrice-intervenante), faisant en sorte que celui qui est absent ne reçoit pas, par exemple, les informations pertinentes sur l'évolution de l'enfant et sur les nouveaux objectifs, en plus d'encourager une triangulation de l'information qui n'est pas souhaitable.…”