“…Les résultats posent à nouveau la question de la reconnaissance des apprentissages réalisés dans des contextes variés, bien au-delà de la formation formelle (Delors, 1996). Ce qui soulève un paradoxe : d'un côté le discours social insiste sur la nécessité de disposer de qualifications formelles (Champagne et al, 2013), alors que selon Martucelli (2009), il importe de considérer l'individu dans toutes ses pluralité, diversité et dispositions. En cela, la reconnaissance des apprentissages réalisés dans des activités criminelles pourrait contribuer plus largement aux efforts liés à la réinsertion sociale des personnes judiciarisées.…”