L'identification des zones calmes et un diagnostic d’équité environnementale à Montréal

Abstract

Messages clés 9,6 % du territoire est identifié comme des zones calmes potentielles. Il y a des disparités spatiales importantes en termes de répartition des zones calmes selon les arrondissements et les municipalités. Il n'y a pas d'iniquités importantes relativement à l'accessibilité aux zones calmes pour les groupes de population étudiés.

Aircraft noise and environmental equity in Montréal: A comparison of noise indicators and an analysis of the impacts of COVID-19

“…Similar to recent work on environmental equity in Montréal ( Apparicio et al, 2016 , Audrin et al, 2019 , Carrier et al, 2016 , Delaunay et al, 2019 , Pham et al, 2012 , Potvin et al, 2019 ), four population groups are considered in this study: low-income individuals (before tax), visible minorities (see definitions in supplementary material s, A2), children under 15 years old, and individuals aged 65 and over. The first two groups are chosen considering their socioeconomic vulnerability, and the last two for their physiological vulnerability to aircraft noise.…”

Revisiting the Concept of Quietness in the Urban Environment—Towards Ecosystems’ Health and Human Well-Being

“…Qualities other than low noise levels, like, for instance, a safe and clean place or a pleasant view, are also well-received attributes of quiet areas. Following the above guidelines, in most cases, the resulted quiet areas refer to urban green spaces, excluding other types of places similar to public squares and walkways [ 29 ].…”

Bruit aérien et équité environnementale dans les quatre plus grandes métropoles canadiennes

“…À l'instar de certains travaux récents en équité environnementale sur les villes canadiennes (Pham et al ; Carrier et al ; Delaunay et al ), les quatre groupes de population suivants sont retenus dans le cadre de cette étude : les personnes à faible revenu, les membres des minorités visibles, les enfants (moins de 15 ans) et les personnes âgées (65 ans et plus). Les deux premiers groupes sont retenus en raison de leur vulnérabilité socioéconomique et les deux derniers du fait de leur vulnérabilité physiologique au bruit aérien.…”