L'homme que je crois qui est venu. qui, que : relatifs et conjonctions

Moreau, Marie-Louise

doi:10.3406/lfr.1971.5549

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“…The difference between que and qui in this form is a long-standing issue in French syntax, going back to Moreau (1971), but tangential to my concerns here. I gloss them both as that.…”

Section: One Surface Form Two Grammatical Statusesmentioning

confidence: 99%

Do French speakers really have two grammars?

Rowlett

2013

French Language Studies

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I consider variation within French and its status in speakers’ mental grammars. I start with Massot's (2008) claim that, within relevant grammatical units, speakers in contemporary metropolitan France do not combine socio-stylistically marked L and H features, and his explanation of this in terms of diglossia (Ferguson, 1959), that is, the idea that speakers possess two (in this case massively overlapping but not identical) ‘French’ grammars which co-exist in their minds: one (français démotique, FD: acquired early, well, and in a naturalistic environment) comprises one set of grammatical features which generate unmarked forms and the marked L forms; the other (français classique tardif, FCT: learnt later, often unreliably, in a more formal context and under the influence of literacy) comprises a (partially) different set of grammatical features which generate the same unmarked forms as well as the marked H forms. Speakers switch between FD and FCT but do not use them both simultaneously, at least not within the context of an individual clause. While Massot's claim is controversial (see Coveney, 2011), I provisionally accept that it is correct, and move on to consider his explanation. I review instances of variation for which I suggest Massot's model needs to be revised in order to account for the phenomenon of surface forms which can be generated by both putative grammars, and which are therefore superficially part of the overlap, but which have a different linguistic status in each and underlyingly are not therefore part of any overlap. I then reconsider Massot's two-grammar hypothesis, raising issues surrounding the extent of the overlap between them, the nature of the differences between them, and their respective statuses in the minds of speakers. I suggest that in view of their massive overlap, their non-random differences, and their contrasting cognitive statuses, it does not make sense to view both FD and FCT as autonomous grammars. Rather, I suggest that only FD is an autonomous grammar. Since the differences between FD and FCT are instantiations of naturally occurring developments usually conceptualised in terms of cyclic grammaticalisation and renewal (the L features of FD are innovations with respect to the H features of FCT), I suggest that FCT should be seen as a dependent grammatical ‘bolt on’ which encodes its conservatism in an abstract and economical way.

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“…The difference between que and qui in this form is a long-standing issue in French syntax, going back to Moreau (1971), but tangential to my concerns here. I gloss them both as that.…”

Section: One Surface Form Two Grammatical Statusesmentioning

confidence: 99%

Do French speakers really have two grammars?

Rowlett

2013

French Language Studies

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“…Ce laxisme n'est certes pas étranger à la marginalité où la Psychomécanique reste confinée. Moreau 1971, H. Huot 1981: 41-45 et J. Härmä 1979; les relatives de (4) ne sont en effet pas des adjointes, mais vraisem blablement des attributives. 5) Dans les inédits: "Livre qu'on a acheté <est> une idée singulière qui n'a pas de nom et pour laquelle il peut devenir utile d'en fabriquer un."…”

Section: Resultsunclassified

Relatives et Nominalisation

Flem

1989

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Une psychomécanique transformationnelleLes travaux guillaumiens qui font état de la nominalisation 1 se gardent bien de souligner l'étonnante rencontre de la Psychomécanique avec la théorie standard étendue (TSE) de la Grammaire générative. Discrétion compréhensible: une objection majeure des psychomécaniciens à la théorie chomskyenne touchant précisément le réalisme des transformations, il se rait plutôt gênant d'admettre que la nominalisation est incontestablement une opération de ce type; elle est cependant regrettable en ce qu'elle occul te l'image inattendue d'un Guillaume largement précurseur de Chomsky dans cet épisode transformationnel unique qui fait de lui l'héritier d'une tradition bien française, celle de la Grammaire de Port-Royal, dont se ré clame aussi le linguiste américain (1969:60-85).Ce point d'histoire établi, il faut ajouter aussitôt que la zone de contact se limite à une tangence, deux traits, outre les différences purement techni ques sur lesquelles je reviendrai, séparant fondamentalement les deux éco les:-toutes deux accomplissent un louable effort d'unification dans le champ éclaté de la subordination traditionnelle, mais dont les résultats ne sont pas superposables: la TSE regroupe les relatives et les interrogatives indirectes, passibles en structure profonde de Mouvement de qu-, tandis que G. Guillaume englobe dans les phrases nominalisées les relatives, les complétives et la plupart des adverbiales. Le principe de l'unification diffè re également, qui repose, d'un côté, sur l'identité du mécanisme transfor mationnel -Mouvement de qu--et, de l'autre, sur le partage par les structures d'arrivée du statut catégoriel de "nom de discours," la nominali-

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“…Par ailleurs, (11a) montre que le complémenteur peut même ne pas être présent, ce que nous attribuons ici à la présence de la relative k aré deû sou d jujot. L'analyse possible de qui comme complémenteur en français (en distribution complé-mentaire avec que en tête de relative) date d'au moins Moreau [17]. Cette analyse s'oppose à l'analyse de la paire qui/que comme pronoms relatifs/interrogatifs selon le critère de la fonction (sujet vs. COD).…”

Section: Les Sujets Qu-unclassified

L’énigme des contraintes grammaticales sur les sujets poyaudins

Massot¹

2016

SHS Web of Conferences

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Résumé. Notre contribution fait état de notre étude en cours des sujets du poyaudin, un patois d'oui. D'une part, en poyaudin, tous les syntagmes nominaux ne sont pas éligibles pour la position syntaxique de sujet : ils doivent pour cela être suffisamment définis/topicaux. Les autres syntagmes nominaux, s'ils doivent exprimer le sujet sémantique de la prédication, doivent être insérés dans des structures syntaxiques où ils peuvent apparaitre en position d'objet : comme élément introduit par y a dans une clivée, ou comme sujet réel d'un verbe à la tournure impersonnelle. D'autre part, les syntagmes nominaux sujets sont (très) fréquemment redoublés d'un clitique nominatif. Nous proposons alors un ensemble d'hypothèses : (i) Les contraintes qui pèsent sur les sujets dépendent crucialement du fait que les syntagmes candidats à la position syntaxique de sujet sont évalués sur une échelle de dé-finitude/accessibilité/topicalité. (ii) Les clitiques nominatifs portent un trait d'accord de type défini/accessible/topical. Ce trait implique que le redoublement clitique du sujet n'est possible que lorsque le sujet est évalué sur l'échelle en question par une valeur compatible avec le trait du clitique nominatif. Ainsi, certains sujets, trop bas sur cette échelle, ne déclenchent pas l'accord par redoublement clitique. (iii) Les syntagmes nominaux trop bas sur l'échelle pour être éligibles en position de sujet trouvent une place adéquate dans les clivées et les tournures impersonnelles parce qu'ils s'y trouvent dans des positions syntaxiques d'objets, qui n'ont pas de restriction dans ce sens.Abstract. The enigma of grammatical constraints on subjects in Poyaudin. Our paper summarizes our ongoing study of subjects in Poyaudin. First, in Poyaudin (an oïl dialect), not all noun phrases are possible syntactic subjects : they have to be topical/definite to a certain degree. When not sufficiently topical/definite, the semantic subject of the predication has to appear in a syntactic object position, either as the object of the presentational y a in a cleft sentence or following a non-agreeing impersonal verb. Se-

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L'homme que je crois qui est venu. qui, que : relatifs et conjonctions

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Relatives et Nominalisation

L’énigme des contraintes grammaticales sur les sujets poyaudins

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