“…Les premières enquêtes sur ce sujet abordaient de larges secteurs en s'appuyant, d'une part, sur la toponymie et, d'autre part sur les sources écrites postrévolutionnaires, en particulier les enquêtes de commodo et incomodo (série M des archives). Cette approche, par force assez globale, s'intéressa surtout aux départements du Rhône et de l'Isère(Chemorin 1984 ;Faure-Boucharlat 1980). Quelques traits généraux pouvaient être dégagés quant à la répartition des ateliers.…”